« L’Amour peut-Il être moins qu’infini?» Pulpit and Press, p. 3. C’est la question profonde que pose Mary Baker Eddy dans son sermon lu lors de la dédicace de l’Édifice original de La Première Église du Christ, Scientiste. Quelle merveilleuse façon de montrer la totalité, la plénitude, la suprématie et la toute-présence de Dieu, le bien !
Puisque l’Amour divin est infini et qu’il est le seul pouvoir, le péché, les restrictions, la maladie, toutes les formes du mal, ne sont pas des réalités à transformer ou à renverser, mais des suppositions qui doivent être vues comme telles. Dans les cas d’apparente pénurie, il nous faut vaincre la tentation de vouloir uniquement arranger la situation humaine, et nous réorganiser afin que nos revenus deviennent plus substantiels. Ce qu’il nous faut réellement comprendre, ce sont les faits gouvernant la situation: l’homme, l’enfant bien-aimé de Dieu, reçoit, maintenant même, des bienfaits infinis de la part de son Père-Mère. Nous avons la faculté d’entrevoir cette vérité, de nous en réjouir et de refuser de permettre aux mensonges du sens mortel de nous faire admettre des suggestions de restrictions, quelles qu’elles soient.
En vérité, le bien est présent, réel et tangible dès maintenant.
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