L’unité de Dieu et de l’homme est un concept qui m’est devenu très clair, il y a quelque temps. A de nombreuses reprises, cela m’a aidée à revendiquer mon unité avec le Père — notre inséparabilité absolue. Nous lisons dans Science et Santé: «En Science divine, Dieu et l’homme réel sont inséparables en tant que Principe divin et idée divine. » (p. 476) N’est-ce pas extraordinaire de savoir que nous sommes absolument inséparables de la Vie, de la Vérité, de l’Amour, de la perfection, de l’intelligence — de tout ce que Dieu est?
Lors d’un voyage à Londres avec une amie, nous sommes allées visiter deux musées. Dans le bus, mon doigt s’est démis en se prenant dans la poignée de cuir à laquelle je m’accrochais. Je me suis libérée et ai caché ma main dans la poche de ma veste, me répétant sans cesse que j’étais inséparable de la bonté divine. En descendant du bus, j’ai dit à mon amie: «Oh, tout de même, de quoi ai-je l’air avec la main dans la poche!» En la retirant, je me suis rendu compte que le doigt était guéri.
Grâce à l’aide et aux conseils de mes moniteurs d’école du dimanche, j’ai obtenu de nombreuses guérisons pour moi-même ainsi que pour nos animaux de compagnie.
Mon fils a eu de belles guérisons au cours de son enfance. Il a été guéri d’un impétigo sur les jambes en trois jours. Nous nous sommes attachés au passage de la page 480 de Science et Santé: «Là où est l’esprit de Dieu, et il n’y a pas de lieu où Dieu ne soit pas, le mal devient néant — l’opposé de ce qu’est l’Esprit.» Quand mon fils était petit, ce passage était devenu un des préférés de la famille. Lorsqu’il fut atteint d’une grave entérite, un praticien m’a aidée a vaincre la peur, et nous nous sommes attachés à la perfection du jeune garçon en tant qu’enfant de Dieu. Le lendemain, il était guéri et avait tant d’énergie qu’on ne pouvait le garder au lit! Il savait qu’il était entouré par l’Amour, son Père-Mère Dieu, et cela le réconfortait toujours quand il se réveillait la nuit.
Il y a à peu près un an et demi, je suis tombée lourdement sur mon bras droit. Les paroles du cantique 58, que j’avais chanté en solo le dimanche précédent, me vinrent immédiatement à l’esprit: « Père, Tes enfants qui T’aiment/Chantent leur joie aujourd’hui... »La strophe se termine ainsi: «L’être vit, se meut sans cesse, / Et jamais il ne faiblit.» La vérité de ces paroles imprégnaient toutes mes pensées. Puis je pensai à « l’exposé scientifique de l’être » qu’on trouve à la page 468 du livre d’étude.
D’après son aspect, je dirais que le bras était cassé. Je me suis relevée et l’ai entouré d’une serviette. Je n’avais pas du tout l’intention d’admettre que cela puisse représenter la réalité, et je ne ressentais ni peur, ni inquiétude, ni douleur. Je savais qu’il était impossible que je sois en dehors de l’amour de Dieu.
J’ai téléphoné à un praticien de la Science Chrétienne pour qu’il m’aide, et il me rappela que j’étais l’image intacte de Dieu. Ce soir-là, je me suis sentie profondément aimée, en sécurité et remplie de joie. Le lendemain, je suis allée promener le chien et j’ai arrosé les plantes, mais j’ai surtout prié en pensant à toutes les choses pour lesquelles je pouvais être reconnaissante. Pendant la nuit, je me suis réveillée et ai senti quelque chose bouger dans mon épaule. Je me suis alors rendu compte qu’elle avait été disloquée et que les os venaient de se remettre en place. L’os du bras n’avait déjà plus l’air d’être cassé.
Le jour suivant, je suis allée en ville avec ma voiture, et je fus capable de changer les vitesses, sans ressentir la moindre gêne. Le praticien m’avait dit qu’il me fallait accepter l’immuabilité absolue de la perfection divine. C’est ce que j’ai fait, et j’ai été libérée.
Trois semaines plus tard, je suis partie faire un voyage de cinq semaines et demie, et j’ai porté mes valises dans les aéroports et dans les cars sans aucun problème.
Je suis très reconnaissante d’étudier la Science Chrétienne.
Velez-Malaga, Espagne
