Il y a un certain temps déjà, je m’aperçus que je voyais mal la nuit, que je ne reconnaissais pas les visages familiers de l’autre côté d’une rue ou à l’autre bout d’une pièce; je ne voyais pas non plus nettement les écrans de cinéma et de télévision. Il m’était également difficile de voir suffisamment bien pour jouer au golf ou au bowling.
Après consultation d’un occuliste, j’appris que je devais porter des lunettes. Au cours des années, d’autres examens révélèrent la nécessité d’utiliser des verres de plus en plus forts.
Il y a quatre ans environ, je me mis à affirmer avec joie que ma vision était spirituelle. Jour après jour, je réfutai la suggestion prétendant que ma vue était affectée par des circonstances matérielles ou qu’elle en était dépendante. Un regain d’intérêt pour Science et Santé et pour les autres œuvres de Mary Baker Eddy fut une merveilleuse source d’inspiration. Je compris mieux un grand nombre de « choses de l’Esprit ».
Quelque temps plus tard, je constatai que je voyais mieux. Une fois, alors que je conduisais à la nuit tombée, je retirai mes lunettes pour découvrir que je voyais plus nettement sans elles. Peu à peu, je me rendis compte que je pouvais accomplir sans lunettes toutes les tâches qui, autrefois, exigeaient que j’en porte, et c’était beaucoup moins fatigant pour mes yeux. Les jours de grand soleil, je me précipitai toujours sur des lunettes sombres, car j’étais gêné par la luminosité. A présent, je supporte très bien la lumière du soleil sans lunettes.
J’eus la preuve évidente de cette guérison lorsqu’il me fallut faire renouveler mon permis de conduire. Je passai avec succès, sans lunettes, le test de la vue, ce qui n’était pas arrivé depuis vingt-cinq ans !
Je suis heureux d’avoir retrouvé une bonne vue, mais plus encore, d’avoir une vision nouvelle de la Vie, qui est spirituelle et ne dépend jamais de la matière pour se manifester.
Laguna Hills (Californie),
U.S.A.
