Je pourrais écrire tout un livre sur les guérisons que j'ai obtenues grâce à la Science Chrétienne. Le présent témoignage a trait à des événements qui ont eu lieu alors que, récemment encore, j'étudiais à l'université.
Ayant obtenu mon diplôme d'art dramatique, j'avais trois mois de vacances devant moi avant de commencer une nouvelle année universitaire consacrée à la pédagogie. Après des études très intenses, je ne savais que faire de tout ce temps libre et je me demandais comment j'allais remplir mes vacances.
Je cherchai à m'occuper à droite, à gauche, et finalement je m'inscrivis à un club de gymnastique. Alors qu'augmentait le temps que je passais à ce club, ma conscience de qui j'étais réellement diminuait. Je commençais à me voir en termes purement matériels.
Plusieurs personnes me dirent que j'avais l'air en pleine forme, mais en fait je me sentais épuisée et prisonnière de cette notion limitée de ce qui était supposé être mon identité. Je n'étais jamais en paix, et je savais au fond qu'il fallait que je cesse de laisser mes pensées vagabonder.
Une nuit, à la même époque, je me réveillai avec de la fièvre. Ma mère, qui n'est pas Scientiste Chrétienne, offrit de m'emmener à l'hôpital. Je refusais d'abord, mais un peu plus tard, quand la fièvre parut s'aggraver, j'y consentis, pour apaiser ses craintes. Pendant tout ce temps-là, je m'efforçais de penser à la totalité de Dieu et de me voir comme l'idée de Dieu. C'était quelque chose que je n'avais pas fait depuis quelques mois déjà!
Après m'avoir examinée, les docteurs déclarèrent que j'avais besoin de prendre des médicaments contre la douleur. Ils m'en donnèrent, mais je les gardais dans le creux de ma main. On m'annonça que j'avais la varicelle et on me dit que cela durerait une ou deux semaines. Je ne pris aucun des médicaments qu'on me donna et je retournai à la maison avec ma mère, laquelle agissait par amour et par souci pour moi; mais ce que je souhaitais, c'était m'appuyer entièrement sur Dieu.
Je téléphonai à mon moniteur d'école du dimanche qui me dit que je devais seulement plaire à Dieu et que je pouvais me tenir sur mes deux jambes. C'est alors que je décidai de m'appuyer fermement sur ce que je savais être juste — dans mon cœur et en raison d'expériences antérieures. J'appelai un praticien qui me parla de mon identité spirituelle. Je refusais d'accepter les suggestions prétendant que j'étais incomplète, enlaidie, fiévreuse ou malade. Je priais aussi pour comprendre que la matière n'a pas le pouvoir de provoquer des démangeaisons, de s'enfler, etc., puisque Dieu est la seule voix, le seul pouvoir. Je m'attachai au fait que j'étais la pure expression de l'Amour divin, Dieu.
Je commençai à mieux percevoir mon identité réelle, et décidai de confectionner des cartes de Noël pour des amis et des membres de ma famille. J'étais si absorbée par cette activité inspirée par l'amour que j'en avais totalement oublié oublié mon « état de santé ». En trois jours, j'étais complètement guérie. Ma mère fut reconnaissante de cette guérison et, depuis lors, appuie mon désir d'avoir recours à ce système de guérison toujours si efficace.
Je suis extrêmement reconnaissante pour les merveilleuses vérités qu'enseigne la Science Chrétienne. Dieu, l'Ame divine, est certainement la seule voix, la seule Vie, et nous, Ses enfants beaux et parfaits, ne pouvons qu'être spirituels et exprimer cela dans notre vie.
Bli Bli (Queensland), Australie
