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Il Y A un an environ, alors que...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de mai 1996


Il Y A un an environ, alors que nous nous préparions à mettre au lit notre fils âgé de sept ans, il se plaignit d'avoir mal à la nuque. Comme nous le faisons dans tous les cas semblables, nous nous sommes tournés en prière vers Dieu afin d'obtenir la guérison. Nous avons parlé avec notre fils de la sollicitude de Dieu pour Ses enfants et nous avons affirmé que rien d'imparfait ne pouvait y faire obstacle.

Le lendemain matin, nous avons constaté une enflure derrière ses oreilles et sur sa nuque. Il ne pouvait tourner la tête ni ouvrir la bouche sans difficulté. Nous avons téléphoné à une praticienne de la Science Chrétienne pour qu'elle nous aide par la prière. Elle répondit à mon appel en exprimant une grande confiance dans l'amour de Dieu pour notre fils.

Les citations que nous avons étudiées dans Science et Santé nous ont donné l'assurance de la totalité de Dieu, l'Esprit, et du néant de la matière. Mary Baker Eddy écrit: « Puisque Dieu est substance et que l'homme est l'image et la ressemblance divines, l'homme ne devrait désirer, et en réalité ne peut posséder que la substance du bien, la substance de l'Esprit, non de la matière » (p. 301).

Mon mari ne connaît pas la Science Chrétienne depuis très longtemps, et nous voulions tous deux obéir aux lois de notre État en ce qui concerne l'obligation de signaler les maladies qui pourraient être transmissibles. Nous avons l'un et l'autre décidé d'amener notre fils chez le médecin qui m'avait accouchée. La praticienne a continué de prier pour notre enfant et a appuyé notre décision. En tant que parents Scientistes Chrétiens, nous savions que le choix des soins à donner à nos enfants nous appartenait entièrement; notre Eglise ne nous dicte en rien nos décisions à cet égard.

Après avoir examiné notre fils, le médecin a diagnostiqué une infection par des streptocoques et nous a vivement conseillé de commencer immédiatement le traitement médical. Il nous dit que la maladie en était déjà à un stade avancé, et il nous prédit de graves complications si nous ne suivions pas de traitement médical. Ce traitement comportait des antibiotiques, et on nous avertit qu'il ne fallait pas s'attendre à une amélioration avant trois jours au moins.

Sachant que nous étions Scientistes Chrétiens, le docteur nous demanda si nous voulions d'abord en parler entre nous. Sur-le-champ, je me tournai humblement vers Dieu pour savoir que faire. Le traitement par la Science Chrétienne avait répondu à tous les besoins de nos enfants, et je savais que l'amour et la sollicitude de Dieu étaient, à ce moment même, omniprésents et omniactifs.

Mon mari prit la parole le premier, remerciant le docteur, mais refusant les médicaments. Il dit que nous souhaitions de nouveau contacter une praticienne pour qu'elle prie pour notre fils, et ramener celui-ci à la maison. Le médecin nous offrit d'utiliser son téléphone, et nous lui fûmes reconnaissants de sa sincérité.

Dans la voiture, nous avons continué de prier avec ferveur, ayant choisi de nous en remettre complètement à la puissance curative de Dieu telle qu'elle est révélée dans la Bible. L'expérience nous avait déjà prouvé par le passé la sagesse et l'efficacité d'un tel choix. Ce soir-là, quand nous avons bordé notre fils dans son lit, nous lui avons dit combien Dieu l'aimait, combien nous l'aimions, et que nous avions le sentiment de lui donner les meilleurs soins possibles. Il répondit doucement: «Je me sens mieux, maman. Je sais que je n'ai pas l'air d'aller mieux, mais je me sens mieux. » C'était là, pensai-je, une déclaration inspirée par le Christ.

Plus tard dans la soirée, je me mis à réfléchir aux paroles du cantique 425 de l'Hymnaire de la Science Chrétienne. On y lit notamment le verset suivant:

Éveille-toi, ô pèlerin,
A l'aube vient l'allégresse !
Car Dieu dit dans Son livre saint:
A l'aube vient l'allégresse !

Cette nuit-là, alors que nous prenions soin de notre fils, nous nous sommes attachés à cette pensée d'Écrits divers de Mary Baker Eddy: « Rien de ce qui est évident aux sens matériels ne peut m'empêcher de voir la preuve scientifique que Dieu, le bien, est suprême » (p. 277).

Le lendemain matin, exactement douze heures après notre retour à la maison de chez le docteur, je trouvai mon fils assis sur le canapé avec son père. D'une voix joyeuse, il s'écria: « Regarde, maman, je peux tourner la tête à droite et à gauche, et je peux ouvrir la bouche toute grande ! » Auparavant, il pouvait à peine murmurer ou bouger. Notre gratitude était indicible.

Notre fils a voulu appeler le médecin pour lui dire qu'il était guéri. C'est ce que nous avons fait, et nous avons remercié de nouveau le docteur pour sa sollicitude et sa prévenance.

À midi notre fils aidait son père à poser les décorations de Noël.

En qualité de parents qui étudient la Science Chrétienne, nous avons donné à notre enfant les meilleurs soins que nous connaissions, et il a été guéri, pas seulement soulagé, mais GUÉRI. Les paroles sont assurément insuffisantes pour exprimer ma gratitude pour la Science Chrétienne.


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