Lorsque Mon Fils avait environ douze ans, un diagnostic médical l’a déclaré atteint de mononucléose. On m’a dit qu’il n’existait aucun traitement médical pour cette maladie et qu’un temps indéterminé de repos complet au lit devrait être suivi d’une longue période d’activité très limitée.
J’ai immédiatement téléphoné à une praticienne de la Science Chrétienne pour lui demander de l’aide par la prière. Nous avons prié afin de comprendre que mon fils est entièrement spirituel, non matériel. Et nous nous sommes efforcés de suivre le conseil que nous donne Mary Baker Eddy à la page 14 de Science et Santé: « Devenez conscient un seul moment du fait que la Vie et l’intelligence sont purement spirituelles, qu’elles ne sont ni dans la matière ni matérielles, et alors le corps ne fera entendre aucune plainte. »
Au bout de quelques jours, j’ai senti que notre compréhension spirituelle augmentait et j’avais le sentiment que la guérison était proche, bien qu’il n’y ait apparemment aucun signe d’amélioration. Un matin, devant partir plus tôt que d’habitude pour le travail, j’ai demandé à la praticienne de s’entretenir directement avec mon fils. Le même soir, lorsque je suis monté à sa chambre, il n’était plus au lit. Il jouait dehors ! Sa guérison n’avait nécessité aucune période de convalescence. Ayant entendu dire qu’il faut parfois des mois pour se remettre de cette maladie, j’étais très reconnaissant de voir mon fils complètement guéri en l’espace d’une semaine environ grâce à la Science Chrétienne.
Il y a quelques années, j’ai souffert de troubles de la vue. J’ai appelé un praticien qui, après avoir été informé du problème, a accepté de prier pour moi. Ma vision a été rétablie à la suite de ce premier appel, uniquement grâce aux prières du praticien. J’ai bientôt commencé à faire appel à lui lorsque d’autres problèmes se présentaient.
Il y a trois ans, on m’a provisoirement installé dans une partie isolée du bâtiment où je travaille, parce que mon bureau était en travaux. Un jour, j’ai ressenti de violentes douleurs dans la poitrine, et je me suis retrouvé sur le sol, à peine capable de bouger ou de parler. Il n’y avait personne à proximité et, même si j’avais appelé la standardiste, j’aurais été incapable de lui expliquer exactement où j’étais, tant ce bureau était difficile à trouver. J’ai choisi rassemblé mes forces et j’ai choisi d’appeler un praticien. Il m’a dit qu’il allait se mettre à prier sur-le-champ et, après avoir raccroché, je me suis attaché aux vérités spirituelles dont il m’avait fait part, concernant ma véritable nature. La douleur a brusquement cessé et j’ai pu me mouvoir librement. J’étais cependant très fatigué.
J’ai rappelé le praticien pour le remercier. Je ne lui avais pas dit que j’avais un problème cardiaque, mais il avait compris que je résistais à la tentation de laisser la crainte d’une attaque émousser la confiance que j’avais dans le pouvoir curatif de la Science Chrétienne. Lors de ce second appel, je lui ai simplement demandé: « Savezvous ce qui vient de se passer? » Il m’a tout de suite rappelé que l’homme n’est jamais touché par l’erreur. Cette réponse m’a aidé à détourner encore davantage ma pensée des nombreuses croyances humaines concernant ce problème et à comprendre que la Science Chrétienne enseigne à la fois la totalité de Dieu et le néant de la matière. Un passage d’Écrits divers, également de Mary Baker Eddy, m’a été aussi très utile: « Il vous faut reconnaître que l’erreur n’est rien: c’est alors, et seulement alors, que vous la “maniez” dans la Science » (P. 334).
Les symptômes ont réapparu au cours des semaines qui ont suivi; j’ai cependant été capable de prier pour moi-même la plupart du temps, ma confiance dans la Science Chrétienne pour la guérison, même de graves problèmes physiques, étant revenue. A d’autres moments, j’ai dû appeler le praticien, et, à chaque fois, les symptômes ont aussitôt disparu.
Dans un Sentinel, je suis tombé sur un article demandant à tous les abonnés de lire Science et Santé de la première à la dernière page. Je me suis mis à la tâche avec ardeur, cherchant dans le dictionnaire les mots dont je n’étais pas sûr. Quelqu’un m’a fait remarquer que toutes les guérisons rapportées dans le dernier chapitre de Science et Santé, intitulé « Les fruits de la Science Chrétienne », concernaient des personnes qui avaient été guéries par la seule lecture de ce livre. Il y a trois ans que j’ai fini de lire notre livre d’étude de cette manière. J’ai été guéri de façon permanente au cours de cette lecture et n’ai plus présenté aucun symptôme du problème mentionné plus haut.
Les progrès spirituels résultant de mon étude et de ma prière continuent de me bénir. J’ai en outre suivi il y a peu le cours de Science Chrétienne, ce qui m’a éclairé de façon extraordinaire sur la pratique de la guérison spirituelle.
Brentwood (Tennessee), U.S.A.
