Pendant La Seconde guerre mondiale, mon activité dans l'armée me plaça au cœur des terrifiantes hécatombes de soldats du front de Birmanie. J'étais hanté par la crainte de la mort. Puis, peu après la guerre, mon unité a été envoyée occuper le Japon, et j'y observai l'état de choc, l'horreur d'une nation qui se relevait encore du traumatisme de deux explosions atomiques. En outre, pendant que j'y séjournais, la région fut victime d'un tremblement de terre.
Tôt le matin, nous fûmes réveillés par des craquements et le bâtiment tremblait. Nous sortîmes en courant, avec un sentiment de confusion et d'impuissance. J'étais à nouveau saisi par la crainte de la mort. Je priai Dieu, mais mes prières n'avaient pas une grande profondeur spirituelle, car je croyais, à l'époque, que la matière possédait du pouvoir.
Tous ces désastres soulevèrent une question grave: « Existait-il une protection contre ce genre de tragédie ? » Je n'étais pas trop sûr que nos appels au secours puissent atteindre Dieu. Je n'avais alors aucune expérience du pouvoir guérisseur de Dieu que révèle la prière, et cette question préoccupante resta très longtemps sans réponse.
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !