J'ai Connu La Science Chrétienne en 1952. Lorsque je me suis mise à l'étudier, une page de ma vie a été tournée. J'étais une jeune épouse, mère de trois enfants, je n'avais pas beaucoup d'argent, et je cherchais désespérément Dieu.
Je priais Dieu tous les jours, car j'étais certaine de Son existence, mais je ne savais où aller ni que faire pour sentir Sa présence. Lorsque j'ai changé de demeure, ma quête a été enfin satisfaite grâce à ma voisine la plus proche, qui était Scientiste Chrétienne. Elle n'a pas tardé à m'apprendre tout ce qu'il me fallait savoir sur cette religion dont je n'avais jamais entendu parler. J'ai alors cessé de fumer: c'était ma première guérison. Puis, à ma grande joie, j'ai été libérée de la crainte et de la superstition dont j'étais esclave depuis si longtemps. Quel merveilleux soulagement !
Mon mari et moi nous étions mariés très tôt, et un grand amour régnait dans notre foyer, mais désormais, j'écrivais ce mot avec un A majuscule, et il avait acquis à mes yeux une dimension nouvelle: j'avais appris que l'Amour, c'est Dieu.
J'ai été guérie instantanément d'une forte nausée accompagnée de violents maux de tête, avant même que mon mari, sorti pour téléphoner à une praticienne d'une cabine située dans la rue, ne soit revenu à la maison. J'apprenais à me servir de ma nouvelle connaissance de Dieu pour résoudre tous les problèmes qui se présentaient; j'en suis venue, peu à peu, à n'avoir d'autre objectif que de mieux connaître Dieu et de manifester de l'amour envers tous ceux que je rencontrais.
En lisant Science et Santé, j'ai été guérie d'une profonde blessure morale remontant à mes années d'adolescence, et j'ai pu surmonter mes ennuis d'argent. Alors que je priais au sujet de ce problème, l'idée m'est venue de penser au nombre de feuilles qui poussent sur un arbre. J'ai compris que la pénurie ne vient pas de Dieu, car, en vérité, nos ressources se composent d'idées justes. L'épais feuillage que je contemplais sur les arbres suggérait l'abondance des idées spirituelles à ma portée. J'ai été impressionnée de voir que cette pensée a changé ma situation financière. J'ai prouvé bien des fois, depuis lors, que le manque de temps ou de revenus est un leurre, car je ne peux jamais être privée de Dieu. J'ai toujours disposé d'assez de temps et d'argent pour mener une existence heureuse et ordonnée.
Récemment, j'ai eu des vertiges et j'ai souffert de diplopie. J'étais effrayée. Mais grâce à l'aide d'une praticienne, j'ai été guérie. Je me suis rendu compte que les vertiges avaient un lien avec l'inquiétude que me causait (jusqu'à ce que la praticienne prie pour moi) un membre de la famille.
L'amour et le soutien des praticiens, qui consacrent leur vie à Dieu, apportent joie et guérison. Un jour, alors que je critiquais, de façon peu amène, le comportement d'une personne, mon interlocuteur m'a répondu sur un ton bienveillant: « Science et Santé définit la norme; approfondissez votre livre d'étude et restez fidèle à cette norme. Rien de moindre ne saurait être la Science Chrétienne. »
Je suis heureuse de mieux comprendre que l'Église est la « structure de la Vérité et de l'Amour » (Science et Santé, p. 583), et je me réjouis de savoir que, partout et à tout moment, cette idée de l'Église est avec moi. J'exprime ma reconnaissance infinie à Dieu pour cette vérité merveilleuse et pour l'amour que j'ai découvert grâce à cette religion extraordinaire.
Frizington (Cumbria)
Angleterre
