Il Y A Bien des années, mon mari a changé d’emploi et nous avons emménagé dans une ville située dans une partie du pays. Pendant la première semaine de notre séjour, je ne connaissais qu’un seul chemin pour me rendre au bureau de mon mari, celui qui partait de chez nous. Or, un jour, je dus faire quelques courses avant d’aller prendre mon époux à son travail. Après avoir fini mes emplettes, n’étant qu’à quelques kilomètres à l’ouest de la route que je connaissais, je pensais pouvoir sans difficulté retrouver le bureau de l’endroit où j’étais. Cependant je ne voyais rien pour m’assurer que j’approchais de mon but. La crainte de me perdre et d’être en retard me poussa à faire demi-tour, à retourner sur mes pas jusqu’à notre domicile et à prendre le chemin que je connaissais.
Quelque temps plus tard, alors que je m’étais familiarisée avec la ville, je me rendis compte que j’étais tout près de mon but lorsque j’avais fait demi-tour. En fait, j’étais pratiquement arrivée, et je ne le savais pas.
Par la suite, cet incident m’a éclairée bien des fois alors que je travaillais à résoudre un problème par la prière. A maintes et maintes reprises dans ma vie de Scientiste Chrétienne, j’ai pu constater qu’en me tournant vers Dieu avec humilité alors que je me sentais déroutée et bien loin de la guérison, je trouvais invariablement Son Christ, la Vérité, présent pour guérir. Je pourrais dire que la prière m’a permis de « savoir » que je connais la vérité qui guérit, même lorsque c’est le contraire qui semble évident. Lorsque nous nous attachons avec fermeté à l’idée que seul Dieu, le bien, gouverne l’homme, nous voyons s’accomplir des progrès spirituels plus réguliers.
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