Il Y A quelques années, en décembre, mon employeur m’appela dans son bureau pour m’informer que le service que je dirigeais allait être supprimé. Il m’annonça qu’il n’y aurait plus de travail après mars, et que je devais chercher un autre emploi. La situation était plutôt inquiétante: nous n’habitions que depuis deux ans dans notre nouvelle maison et avions deux fils qui fréquentaient des universités privées. Notre compte en banque ne couvrirait pas longtemps nos besoins.
Bien que ma première réaction ait été de chercher un nouveau travail le plus vite possible, je me rendis compte que je devais en premier lieu aborder le problème par la prière, et ensuite seulement entreprendre les démarches nécessaires. J’étais alors Premier Lecteur de notre église, et les passages choisis pour la réunion de témoignage du mercredi traitaient des ressources. J’avais trouvé dans la Bible le récit qui raconte comment Jésus donna à manger à la foule avec quelques pains et deux poissons (voir Marc, chap. 6). Comme notre Maître le prouva alors, lorsque le concept exact des ressources est bien compris, il est pourvu à tous les besoins de la vie humaine.
Science et Santé affirme, à la page 135, que « le miracle n’introduit pas le désordre, mais déroule l’ordre primitif, établissant la Science de la loi immuable de Dieu ». Le terme de mon emploi approchait, et chaque journée était difficile. En déjeunant à mon bureau, je notais par écrit toutes mes préoccupations. Ensuite, à l’aide de mon « compte d’épargne mental » d’idées spirituelles, je remplaçais l’erreur de la pensée humaine par l’assurance de la compréhension spirituelle. Je puisais sans cesse à ce compte mental, que de nombreuses preuves de la puissance curative de la Science Chrétienne avaient approvisionné.
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