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J’aimerais Relater la guérison...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de septembre 1993


J’aimerais Relater la guérison de mon épouse qui était stérile. Les premières années de mes études universitaires à Kinshasa, mon épouse habitait temporairement avec mes parents, à une centaine de kilomètres de la capitale. Pendant cette période, mes parents la firent soigner par divers systèmes de guérison. Un diagnostic médical révéla que ma femme avait des plaies au niveau de l’utérus. Les devins déclarèrent que sa stérilité était causée par des sorciers. Mais aucun de ces systèmes de guérison ne put la guérir, bien qu’elle respectât scrupuleusement toutes les proscriptions et tous les tabous.

Quand, pour la première fois, je proposai à mon épouse le traitement par la Science Chrétienne qu’un vieil ami d’école m’avait fait connaître un peu plus d’une année auparavant, elle opposa un refus catégorique. Cependant, la guérison merveilleuse de ma mère amena mon épouse à reconsidérer sa position. Elle se décida à prendre le traitement métaphysique au sérieux et à l’accepter.

C’est ainsi que j’entrepris mon traitement métaphysique dès son retour à Kinshasa, vers la fin du mois de juillet 1981. Je lui demandai d’abord de désobéir à toutes les proscriptions et à tous les tabous, puisque Dieu ne l’y forçait pas et ne lui interdisait rien. Je m’attachai fermement au concept spirituel de justice, ainsi qu’au droit et à la liberté que Dieu donne à l’homme de prospérer et de se multiplier ainsi que l’indique le premier chapitre de la Genèse. Je reconnus le statut réel de l’homme (et de ma femme) en tant que reflet de Dieu, l’Esprit. Je méditai aussi profondément les différentes guérisons de stérilité relatées dans la Bible, notamment celles d’Anne, de Sara et de la Sunamite.

Dans l’Évangile selon Jean, je fus frappé par ce passage: « Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu. » Je méditai aussi cette phrase tirée de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy: « Dans la Science, l’homme naît de l’Esprit... Son origine n’est pas, comme celle des mortels, dans l’instinct animal, et il ne passe pas non plus par des états matériels avant d’arriver à l’intelligence. »

Les faits relatifs au message de l’ange à Marie, à la conception et à la naissance de Jésus sans intervention matérielle m’inspirèrent beaucoup. Je compris avec plus de clarté qu’auparavant la totalité de Dieu, le seul Entendement créateur, ainsi que la nature et l’origine spirituelles de l’homme. Je vis que la matière, la chair, était en réalité insubstantielle, inerte, inanimée, dépourvue d’intelligence et de pouvoir créateur qui lui soit propre. Je compris que la matière ne saurait agir par elle-même ni rendre stérile. J’en vins enfin à la conscience de la domination que Dieu donne à l’homme sur la matière.

Peu après, mon épouse devint enceinte. En mai 1982, elle mit au monde un fils qui se trouve actuellement en troisième année d’école primaire. Cette guérison s’est avérée permanente et nous avons eu d’autres enfants depuis.

Un jour, ma fille aînée jouait avec ses amies dans la cour de l’école quand l’une d’elles la poussa par mégarde. Elle tomba et son bras heurta violemment une pierre. Mon cousin, qui est assistant médical, l’examina dans sa polyclinique et diagnostiqua une fracture.

Il me vint clairement à l’esprit que c’était là une occasion de démontrer le pouvoir guérisseur de Dieu. Je me rappelai qu’un ou deux ans auparavant, j’avais guéri le pigeon d’un cousin dont l’une des pattes s’était fracturée. Alors, je me dis que Dieu, qui m’avait donné la compréhension qui me permit de guérir le pigeon, me donnerait également l’inspiration et la force spirituelle dont j’avais besoin pour guérir ma fille.

Je demandai à un infirmier de mon quartier, qui étudie les Leçons bibliques du Livret trimestriel de la Science Chrétienne, de bander le bras de ma fille sans faire usage de médicaments.

Dans mon travail métaphysique, je m’inspirai d’abord de la Genèse (1:26, 27) où il est dit que Dieu créa l’homme à Son image et à Sa ressemblance, ainsi que de la description de l’homme donnée par Science et Santé de Mary Baker Eddy. Nous lisons à la page 475: « L’homme n’est pas matière; il n’est pas composé de cerveau, de sang, d’os et d’autres éléments matériels... La matière n’est pas cette ressemblance. » Je compris que l’identité de ma fille était entièrement spirituelle, incorporelle; en réalité, elle n’était pas constituée d’éléments matériels comme les os, le sang et les muscles. Je vis clairement qu’une idée spirituelle ne pouvait pas se fracturer.

Ma fille fut complètement guérie au bout de cinq ou six jours. Depuis trois ans, elle va à l’école du dimanche de la Science Chrétienne.

Nous avons eu plusieurs autres guérisons par la Science Chrétienne pour lesquelles j’exprime à Dieu ma reconnaissance. Aujourd’hui, je dois tout à la Science Chrétienne, qui a régénéré toute ma vie.


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