Skip to main content Skip to search Skip to header Skip to footer

Un Jour De de l'été 1942,...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1992


Un Jour De de l'été 1942, alors que j'étais employé dans une usine travaillant pour la Défense nationale, mon chef me demanda si je voulais renouveler mon sursis militaire. Je répondis par la négative. Au mois d'août suivant, je subis les examens préalables au service militaire et fus réformé pour cause de « tuberculose pulmonaire avancée ».

Après ces examens, j'allai m'asseoir sur un banc, dans le centre-ville, pour réfléchir. Des membres de ma famille avaient été enlevés par la même maladie, après un long séjour à l'hôpital. La perspective était sinistre. J'envisageai alors, mais sans grand enthousiasme, de recourir à la Science Chrétienne. J'étais allé quelque temps à l'école du dimanche de la Science Chrétienne et, par la suite, j'avais connu une jeune fille qui étudiait cette Science.

Je téléphonai à cette personne pour lui expliquer pourquoi j'avais été réformé et lui dire que j'avais décidé d' « essayer la Science Chrétienne ». Elle m'invita à dîner chez ses parents. Sa mère, qui était praticienne de la Science Chrétienne, m'apporta beaucoup de soutien et de réconfort. Toutes les deux eurent pour moi « une patience compatissante à l'égard de [mes] craintes ». On lit dans Science et Santé de Mary Baker Eddy: « Un mot de tendresse et d'encouragement chrétien adressé à un malade, une patience compatissante à l'égard de ses craintes et la suppression de celles-ci valent mieux que des hécatombes d'abondantes théories, des discours empruntés et stéréotypés, et la distribution d'arguments qui ne sont qu'autant de parodies de la vraie Science Chrétienne, embrasée d'Amour divin. »

Je décidai d'aller voir ma mère, qui habitait dans un autre État. Pendant mon séjour là-bas, je demandai à un praticien de prier pour moi. Son aide me fut très utile et m'encouragea beaucoup. De retour chez moi, je repris contact avec la première praticienne et sa fille. Leur patience et leur affection me furent de nouveau d'un grand réconfort. Elles m'engagèrent vivement à aller à la salle de lecture de la Science Chrétienne, à étudier les Leçons bibliques, à lire les périodiques de la Science Chrétienne et surtout à prier.

Peu à peu, il s'opéra un changement dans la conception que je me faisais de Dieu, de la vie et de moi-même. En décembre de cette année-là, je demandai à être réexaminé par le conseil de recrutement et obtins satisfaction en janvier. Ce furent les mêmes docteurs qui auscultèrent mes poumons et qui examinèrent mes radiographies. Ils me demandèrent: « A quel hôpital vous êtes-vous fait soigner ? » J'étais complètement guéri et n'ai eu aucune rechute depuis près de cinquante ans.

Plus tard, pendant la seconde guerre mondiale, j'ai été guéri de la pneumonie et d'une fièvre tropicale par les prières de Scientistes Chrétiens. L'effet cumulatif de ces guérisons par la Science Chrétienne m'a convaincu de la vérité et de la portée pratique de ces enseignements chrétiens.

Les années qui se sont écoulées depuis m'ont apporté plus de guérisons et de joie que je n'aurais jamais pu l'imaginer. Je suis devenu membre de l'Église et j'ai suivi le cours de Science Chrétienne, ce qui m'a permis de mieux discerner la réalité spirituelle de Dieu et de l'homme. Ma reconnaissance pour la Science Chrétienne est immense.


Pour découvrir plus de contenu comme celui-ci, vous êtes invité à vous inscrire aux notifications hebdomadaires du Héraut. Vous recevrez des articles, des enregistrements audio et des annonces directement par WhatsApp ou par e-mail. 

S’inscrire

Plus DANS CE NUMÉRO / août 1992

La mission du Héraut

« ... proclamer l’activité et l’accessibilité universelles de la Vérité toujours disponible... »

                                                                                                                                 Mary Baker Eddy

En savoir plus sur le Héraut et sa mission.