Un Jour De de l'été 1942, alors que j'étais employé dans une usine travaillant pour la Défense nationale, mon chef me demanda si je voulais renouveler mon sursis militaire. Je répondis par la négative. Au mois d'août suivant, je subis les examens préalables au service militaire et fus réformé pour cause de « tuberculose pulmonaire avancée ».
Après ces examens, j'allai m'asseoir sur un banc, dans le centre-ville, pour réfléchir. Des membres de ma famille avaient été enlevés par la même maladie, après un long séjour à l'hôpital. La perspective était sinistre. J'envisageai alors, mais sans grand enthousiasme, de recourir à la Science Chrétienne. J'étais allé quelque temps à l'école du dimanche de la Science Chrétienne et, par la suite, j'avais connu une jeune fille qui étudiait cette Science.
Je téléphonai à cette personne pour lui expliquer pourquoi j'avais été réformé et lui dire que j'avais décidé d' « essayer la Science Chrétienne ». Elle m'invita à dîner chez ses parents. Sa mère, qui était praticienne de la Science Chrétienne, m'apporta beaucoup de soutien et de réconfort. Toutes les deux eurent pour moi « une patience compatissante à l'égard de [mes] craintes ». On lit dans Science et Santé de Mary Baker Eddy: « Un mot de tendresse et d'encouragement chrétien adressé à un malade, une patience compatissante à l'égard de ses craintes et la suppression de celles-ci valent mieux que des hécatombes d'abondantes théories, des discours empruntés et stéréotypés, et la distribution d'arguments qui ne sont qu'autant de parodies de la vraie Science Chrétienne, embrasée d'Amour divin. »
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !