Lorsque J'avais Treize ou quatorze ans, je m'aperçus que ce serait essentiellement grâce à l'étude de la Leçon biblique hebdomadaire indiquée dans le Livret trimestriel de la Science Chrétienne et à ma participation à l'école du dimanche de la Science Chrétienne que j'établirais une solide base spirituelle. La guérison qui suit illustre la puissance et la vérité de la première phrase du chapitre intitulé « La prière » de Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy: « La prière qui réforme les pécheurs et guérit les malades est une foi absolue dans le fait que tout est possible à Dieu — une compréhension spirituelle de Dieu, un amour détaché de soi-même. »
Au début de ma première année d'université, on m'annonça, après un examen médical, que j'avais un cancer. Je téléphonai à mes parents qui me demandèrent de venir les rejoindre chez eux, au Canada, afin de consulter des spécialistes. Le diagnostic fut confirmé après une série complète d'examens. Pendant deux mois, je subis différents traitements médicaux qui me furent pénibles. Je pris alors la décision de m'appuyer sur la Science Chrétienne. Étant le seul à l'étudier dans ma famille, je me demandais anxieusement comment ma décision serait accueillie. Je m'étais pour ma part appuyé sur la Science Chrétienne depuis ma jeune adolescence, et j'avais appris, par expérience, que cette méthode de guérison était efficace.
Quand j'annonçai à ma famille mon intention de recourir à la Science Chrétienne et de cesser le traitement médical, cette nouvelle souleva une intense résistance, au point que, quelques jours plus tard, une décision judiciaire fut rendue déclarant que je devais être mentalement déséquilibré et que deux psychiatres au moins seraient chargés d'évaluer mon cas. On me plaça dans une salle de psychiatrie d'un hôpital de la ville. Je téléphonai à une praticienne de la Science Chrétienne pour lui demander de m'aider par la prière, ce qu'elle accepta volontiers de faire. Je la mis au courant de ce qui s'était passé jusqu'alors, et elle me rappela que Dieu gouverne toujours parfaitement Sa création et que je ne pouvais jamais être privé de Sa tendre sollicitude, ce qui était certes ma plus profonde conviction.
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