Entre le moment où il est entré au service de Mary Baker Eddy et le soir de décembre 1910 où notre Leader s’est éteinte, Calvin Frye a tenu loyalement la promesse qu’il lui avait faite à l’origine de rester avec elle. Ces vingt-huit années de dévouement d’un Scientiste Chrétien au service personnel de notre Leader constituent un record inégalé.
Les attributions de Frye à ce « poste aux multiples facettes » Lettre de Joseph G. Mann à William Lyman Johnson, 24 janvier 1919, Archives et bibliothèque de L’Église Mère. (ainsi que le décrivait l’un de ses collègues) comprenaient les fonctions de secrétaire, d’intendant, de confident, de métaphysicien, de cocher de Mary Baker Eddy, en un mot, comme il l’a dit lui-même dans une interview, il était « son homme à tout faire » Cité dans The Denver Post, 24 décembre 1912..
C’est pour cette raison qu’il était toujours « de garde », à tel point qu’en 1910, lorsqu’il fit, accompagné de quelques autres personnes de la maison, et avec l’approbation de Mary Baker Eddy, une sortie de trois heures pour aller assister à l’un des premiers meetings aériens aux États-Unis, ce fut, selon l’un de ses compagnons, « le plus long congé que Frye ait pris au cours de toutes ses années de service, marque de dévouement s’il en fut » Souvenirs de Irving C. Tomlinson, p. 650, Archives.. En 1906, Frye calcula qu’il n’avait passé « que quatre nuits » en dehors de la demeure de Mary Baker Eddy depuis qu’il avait commencé à travailler pour elle. Lettre de Frye à Mary Baker Eddy, 17 août 1906, Archives.
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