Pendant mon enfance, j’eus beaucoup de guérisons par la Science Chrétienne, mais je cessai, pendant un temps, d’apprécier vraiment toute la valeur des enseignements que j’avais reçus et des guérisons que j’avais eues. Je menai une vie qui me laissait insatisfaite et malheureuse. Alors, en priant régulièrement et en purifiant mes désirs, je fus guérie de l’envie de boire de l’alcool, de fumer des cigarettes et de prendre des drogues.
Je compris combien la déclaration de Christ Jésus dans l’Évangile de Luc était vraie: « Nul serviteur ne peut servir deux maîtres. » Deux phrases de Science et Santé m’aidèrent beaucoup à prier. L’une était: « L’Amour ne se hâte pas de nous délivrer de la tentation, car l’Amour entend que nous soyons éprouvés et purifiés » et l’autre: « En obéissant patiemment à un Dieu patient, travaillons à dissoudre avec le dissolvant universel de l’Amour l’erreur adamantine — la volonté personnelle, la propre justification et l’amour de soi — qui fait la guerre à la spiritualité et qui est la loi du péché et de la mort. »
Grâce à mes efforts et à mes prières, je trouvai la patience, l’honnêteté et la force dont j’avais besoin pour affirmer avec insistance que l’homme est véritablement inséparable du tendre amour de Dieu. Il y eut bien des luttes, mais la victoire finit par venir. En outre, quand j’eus ressenti et démontré la liberté morale inhérente à ma véritable nature spirituelle, des verrues que j’avais sur les mains disparurent complètement.
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