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Mon premier contact avec la Science Chrétienne et sa puissance curative...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1989


Mon premier contact avec la Science Chrétienne et sa puissance curative se produisit grâce aux deux guérisons que voici. Lorsque je logeais chez ma sœur, avec sa famille (j’étais alors étudiante dans une université voisine), je fus témoin, pour la première fois, d’une guérison par la Science ChrétienneChristian Science ('kristienn 'saïennce). L’explosion d’un récipient d’essence avait affreusement brûlé le visage de ma sœur. J’étais seule avec elle à ce moment-là.

Elle me donna le numéro de téléphone d’une praticienne de la Science Chrétienne. Je l’appelai et lui parlai de l’explosion, ajoutant que ma sœur arpentait la pièce, en proie à la douleur. Je ne me rappelle pas ce que la praticienne me répondit, mais ses paroles me calmèrent. Elle fit dire à ma sœur qu’elle allait prier pour elle, tout de suite. Elle me pria aussi de lui lire, dans la Bible, les versets 12–30 du troisième chapitre du livre de Daniel: il s’agit du récit des trois captifs hébreux qui avaient été jetés dans une fournaise ardente sur ordre du roi Nebucadnetsar, pour avoir refusé de servir ses dieux. Il est dit qu’ils purent marcher, indemnes, au milieu du brasier et que « le feu n’avait eu aucun pouvoir sur le corps de ces hommes », ni sur leurs vêtements. Seuls leurs liens avaient brûlé. Le roi, « effrayé », reconnut et accepta le pouvoir du Dieu des captifs hébreux.

La stupeur du roi n’avait certainement pas été plus vive que la mienne devant le spectacle qui s’offrait à mes yeux: j’avais à peine terminé la lecture de ce court récit biblique que ma sœur était libérée de toute douleur. Très vite, la chair se reconstitua sur son visage et la peau reprit sa texture normale, ne laissant aucune cicatrice. Son teint était aussi beau qu’il l’avait toujours été.

La seconde guérison, c’est moi qui l’ai eue. La veille de mon mariage, je suis tombée du marchepied d’une voiture qui roulait. Mon pied se coinça sous la roue arrière et je fus traînée sur plusieurs mètres d’une chaussée raboteuse. On me conduisit de toute urgence à l’hôpital et, au bout de trois jours, le docteur dit à ma mère que la gangrène s’était déclarée; si l’on ne m’amputait pas le pied immédiatement, j’allais mourir. Il ajouta que le pied était si endommagé que, de toute façon, je ne pourrais plus jamais marcher normalement.

C’est alors que je me rappelai la merveilleuse guérison de ma sœur. Je dis à ma mère que j’aimerais essayer la Science Chrétienne. Ma mère n’était pas Scientiste Chrétienne, mais, comme j’avais trois sœurs qui l’étaient, les enseignements de cette Science ne lui étaient pas inconnus. En femme courageuse qu’elle était, elle m’assura que si je voulais y avoir recours et mettre toute ma confiance en Dieu, elle trouvait cela très bien.

Je savais très peu de choses sur Dieu; je n’avais jamais été portée vers la religion, même si j’avais été élevée dans un foyer chrétien plein d’amour. Cette expérience me fournissait une excellente occasion de faire connaissance avec Dieu et aussi de découvrir ce que Dieu savait à mon sujet.

Quand ma mère eut signé les papiers dégageant l’hôpital de toute responsabilité, on me permit de rentrer à la maison. Mon fiancé me soutint de tout son amour, et mes sœurs, Scientistes Chrétiennes dévouées, me furent d’une aide profonde. Il fut aussi demandé à une praticienne de prier pour moi, et cette dame vint me voir tous les jours.

En arrivant à la maison, j’avais très peur que la douleur soit insupportable dès qu’aurait cessé d’agir la dernière piqûre qui m’avait été faite à l’hôpital pour atténuer la douleur atroce. Mais la praticienne, avec amour et fermeté, m’assura que tout irait bien. Elle m’indiqua un passage de Rétrospection et Introspection de Mary Baker Eddy, qui continue de m’apporter beaucoup (p. 61): « ... si vous vous endormez, réellement conscient de la vérité de la Science Chrétienne, — savoir, que l’harmonie de l’homme ne peut pas plus être envahie que le rythme de l’univers — vous ne pouvez pas vous réveiller en proie à une crainte ou à une douleur quelconque. » Et je découvris que c’était vrai; il y eut des moments où je me sentais un peu mal à l’aise, mais je n’ai jamais vraiment souffert.

Je ne savais pas, à l’époque, comment la guérison se produisait, mais j’étais absolument convaincue que je serais guérie. J’entrevoyais que le pouvoir curatif appartenait à Dieu seul et que la guérison était donc une possibilité actuelle. J’en étais si certaine que, mon fiancé et moi, nous avons décidé de célébrer notre mariage. Pendant quelque temps, j’ai utilisé des béquilles, mais cela n’a pas duré: un jour, je les ai oubliées dans une filiale de l’Église du Christ, Scientiste, après une réunion de témoignage du mercredi soir. Au bout de deux mois, non seulement je marchais, mais je dansais également, ayant retrouvé toute ma liberté de mouvement. La guérison a été permanente.

Des guérisons merveilleuses se sont encore produites, en grand nombre, au cours des années qui ont suivi; je suis reconnaissante pour chacune d’elles. Elles m’ont bénie, en me rendant consciente de la bonté infinie de Dieu, de Sa totalité et de Son amour éternel.


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