Dans Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy, il est dit ceci (p. 109): « La Science Chrétienne révèle incontestablement que l’Entendement est Tout-en-tout, que les seules réalités sont l’Entendement divin et l’idée divine. On ne considère cependant pas ce fait important comme soutenu par une évidence perceptible, tant que son Principe divin n’est pas démontré par la guérison des malades et ainsi prouvé absolu et divin. Cette preuve une fois reconnue, on ne peut arriver à aucune autre conclusion. »
C’est avec une profonde gratitude que je peux attester la véracité de ces paroles, me fondant sur une guérison par la Science Chrétienne de ce qui semblait être l’appendicite. Cet état n’a jamais été diagnostiqué par un médecin, mais, depuis quelque temps, j’étais sujette à des crises intermittentes de cette nature. A chaque fois, grâce à mes prières, les choses allaient mieux. Je rendais visite à mes parents un après-midi lorsque les symptômes se manifestèrent de nouveau. Mon père est Scientiste Chrétien et il me soutint de ses prières; mais, comme mon état empirait, de l’aide fut demandée à une praticienne de la Science Chrétienne, qui accepta avec amour de prier pour moi.
Je décidai de passer la nuit chez mes parents et la douleur s’apaisa tellement que je m’endormis. Au milieu de la nuit, cependant, je fus réveillée par une nouvelle crise aiguë. Je demandai à mon père de me lire dans Science et Santé le passage suivant (p. 308): « Jacob était seul, combattant l’erreur — luttant contre un sens mortel de vie, de substance et d’intelligence comme existant dans la matière avec ses faux plaisirs et ses fausses douleurs — lorsqu'un ange, un message de la Vérité et de l’Amour, lui apparut et frappa le tendon, ou la force, de son erreur, jusqu’à ce qu’il en vît l’irréalité; et, étant ainsi comprise, la Vérité lui donna la force spirituelle dans ce Péniel de la Science divine. » Je lui demandai ensuite de lire la définition de l’homme telle qu’elle est donnée aux pages 475–477 de Science et Santé.
Après avoir prié à l’aide de ces pensées, je pus dormir normalement pour me réveiller le matin complètement libérée de la douleur et de la maladie. Je rentrai chez moi. Au fur et à mesure que la journée se déroulait, sentant mes forces diminuer, je téléphonai à la praticienne. Elle me fit comprendre que je devais accepter le fait que j’étais l’enfant de Dieu, entièrement spirituelle, et que je n’avais jamais été, en réalité, touchée par la maladie. Je pouvais donc abandonner la croyance que j’avais mené une lutte intense ! Je suivis ses conseils et les forces me revinrent rapidement.
Cette guérison s’est produite il y a dix ans et je n’ai jamais eu la moindre rechute. Pour les leçons spirituelles que j’ai tirées de cette guérison et pour ce qu’elles ne cessent de m’apporter, je peux dire avec le Psalmiste (Ps. 103:2, 3): « Mon âme, bénis l’Éternel, et n’oublie aucun de ses bienfaits ! C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies. »
Keighley (North Yorkshire), Angleterre