Je désire faire part de ma gratitude pour une très belle guérison. Récemment, je me suis réveillée une nuit dans l’incapacité de bouger mon corps, pas même le petit doigt. J’étais effrayée, et je pensais que j’étais toute seule. Puis, je me suis entendue dire à voix haute: « Non, je ne suis pas seule. Dieu est présent. Dieu est présent en tant qu’Entendement, mon Entendement, et donc je peux penser et je peux savoir. »
J’ai commencé à raisonner avec « l’exposé scientifique de l’être du livre d’étude de la Science Chrétienne, Science et Santé de Mary Baker Eddy. J’y ai réfléchi soigneusement. Cet exposé commence ainsi (p. 468): « Il n’y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. Tout est Entendement infini et sa manifestation infinie, car Dieu est Tout-en-tout. J’ai également pensé à certains psaumes qui me semblaient convenir tout à fait à la situation dans laquelle je me trouvais. Bientôt, je me suis aperçue que je pouvais bouger légèrement le bras droit et la main, mais j’ai dû encore combattre la crainte un certain temps. J’ai compris que j’avais besoin d’un soutien par la prière.
Mon fils m’avait acheté un téléphone électronique qui me permet d’obtenir des communications en touchant simplement un nom. J’ai téléphoné à une praticienne de la Science Chrétienne et lui ai expliqué le problème et la façon dont j’avais raisonné. Elle me dit qu’elle allait m’aider immédiatement.
Je n’avais pas plus tôt fini de reposer le récepteur, que j’ai ressenti un changement dans tout mon corps. Puis cela a été comme si on ôtait un manteau de mes épaules et qu’il tombe à terre. Je me suis aperçue que je pouvais bouger. Je me suis assise sur mon lit, et puis je me suis levée et j’ai remercié Dieu pour cette guérison instantanée. Je suis allée au téléphone, pensant que je devais le dire à la praticienne, et toutes les deux nous avons remercié Dieu pour Sa grande bonté. Puis je suis retournée me coucher et j’ai dormi jusqu’au matin. Ma guérison a été permanente.
Maintenant, je désire exprimer ma gratitude pour tous les praticiens de la Science Chrétienne qui consacrent leur vie à aider les autres comme je l’ai été. Leur ministère de guérison me rappelle ce passage de la Bible (Ps. 97:1): « L’Éternel règne: que la terre soit dans l’allégresse. » Et je me souviens également de cette affirmation de Mary Baker Eddy dans Écrits divers (p. 277): « Rien de ce qui est évident aux sens matériels ne peut m’empêcher de voir la preuve scientifique que Dieu, le bien, est suprême. » Je suis reconnaissante pour les explications scientifiques que Mary Baker Eddy a données des guérisons de Christ Jésus.
J’ai reçu tout enfant le livre d’étude de la Science Chrétienne, alors que je faisais du théatre, il y a bien des années. Il m’a été d’une grande aide tandis que je me trouvais aux prises avec les exigences harassantes mais agréables d’une troupe théâtrale itinérante. A cette époque, j’ai appris par cœur le chapitre intitulé « Les pas de la Vérité ». J’ai souvent médité des passages de ce chapitre en attendant dans les coulisses le moment de monter en scène. Tout au long de ma vie, j’ai été reconnaissante de pouvoir appliquer les belles vérités spirituelles de la Science Chrétienne.
A une époque, ma mère a été très malade, manifestant tous les symptômes d’une pneumonie. Une nurse Scientiste Chrétienne est venue chez nous pour nous aider à prendre soin d’elle, et en trois jours, ma mère a été complètement guérie. La praticienne qui s’occupait du cas et moi-même en avons ressenti une grande joie. La praticienne était venue chez nous, et avant son départ, nous avions discuté en profondeur « l’exposé scientifique de l’être ». A ce moment, j’avais vu plus clairement que jamais qu’il n’y a pas de substance dans la matière et que la matière n’a aucune sensation.
Alors que je préparais le souper ce soir-là, j’ai mis une grande poêle en fonte avec un manche en fer sous le gril. Lorsque j’ai voulu retirer la poêle, je n’ai pas fait attention et je n’ai pas pris de gant pour protéger ma main, qui s’est trouvée exposée à la chaleur intense de la poignée métallique. Pendant un instant, la douleur a été vive. Puis, la révélation que j’avais eue auparavant concernant « l’exposé scientifique de l’être » m’est revenue très clairement à la pensée, et toute douleur a cessé. Il n’y avait aucune trace de brûlure. J’étais si reconnaissante pour cette preuve pratique résultant de ma compréhension toute neuve !
Springdale (Arkansas), U.S.A.
