J'éprouve une profonde reconnaissance envers Dieu qui nous a merveilleusement conduits à la Science Chrétienne et nous a secourus dans la détresse.
Voici seize ans environ que ma mère fut gravement atteinte de tuberculose. Pendant cinq ans, nous essayâmes sans succès tout ce que nous pensions pouvoir lui faire du bien. Elle souffrait beaucoup, jour et nuit. Une parente nous apporta le message de la Science Chrétienne, mais faute de compréhension, nous n'y ajoutâmes pas foi et par conséquent ne pûmes recevoir d'aide. Pourtant lorsque la mort paraissait proche, nous nous réveillâmes et eûmes recours à une praticienne. Dès le premier traitement, ma mère se rétablit; elle put se lever et peu à peu reprendre le travail. Depuis cette époque nous n'avons plus jamais employé de remèdes matériels, car Dieu déclare: « Je suis l'Éternel qui te guérit! »
En 1925, lors d'un accident, j'appliquai la Science Chrétienne et fus merveilleusement conduite par Dieu. Un matin d'hiver, alors que je descendais au village sur une luge, je rencontrai une automobile et fus grièvement blessée. Cependant je me relevai tout de suite et m'attachai fermement aux paroles du psaume quatre-vingt-onze, ainsi qu'à ces déclarations de Mrs. Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Écritures (pp. 424, 567): « Les accidents sont inconnus à Dieu, l'Entendement immortel, » et: « Pour l'Amour infini, toujours présent, tout est Amour. » Ainsi puisque tout est Amour, l'Amour seul peut gouverner l'homme. Je n'avais pas de douleurs, quoique mon visage fût bien mal arrangé et très enflé, et que j'eusse une lésion au genou gauche. Je désirais être traitée en Science Chrétienne, et une praticienne m'aida avec amour; quelques jours plus tard, j'étais tout à fait guérie, au grand étonnement du médecin appelé au début, contre mon désir; il dit que pratiquant depuis bien des années, il n'avait jamais rien vu d'aussi merveilleux. Cette expérience m'inspire une profonde gratitude envers Dieu et envers la Science Chrétienne. Je suis aussi très reconnaissante d'avoir pu suivre l'école du dimanche pendant quatre ans avant d'atteindre ma vingtième année; ce fut un privilège qui m'apporte encore maintenant de grandes bénédictions.
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