Il y a quelques années je fis avec plusieurs autres personnes un séjour à Boston, et je suis très reconnaissant d'avoir eu l'occasion d'y fréquenter les cultes de L'Église Mère.
Parmi ce groupe, certains eurent ce qu'on nomme une conjonctivite qui tout en les faisant souffrir, leur causa beaucoup d'ennuis. Ils employèrent les remèdes matériels les plus recommandés, mais n'obtinrent la guérison qu'au bout de deux ou trois semaines. Sachant que je m'intéressais à la Science Chrétienne, on se moqua un peu de moi, disant que je ne pourrais échapper à l'infection et verrais bien l'inutilité de compter sur la prière pour obtenir la guérison physique. Un après-midi, ce mal m'attaqua très violemment. Je me retirai dans ma chambre d'hôtel, et me mis à savoir et à déclarer la vérité, comme j'avais appris à le faire en Science Chrétienne; car je désirais avant tout prouver à mes amis le pouvoir et l'accessibilité de l'Entendement divin, de l'Amour. Je m'endormis dans une paisible assurance, et le lendemain on ne voyait aucune trace du mal, qui n'a jamais reparu. Mes amis furent surpris, et ceux qui m'avaient tourné en ridicule reconnurent que la prière était plus efficace que tout autre moyen pour guérir ce mal.
Des preuves aussi définies que celle-ci continuent à nous encourager, à augmenter nos heureux souvenirs, à nous faire poursuivre avec zèle le bon chemin. C'est une joie de reconnaître les bénédictions qui nous sont révélées grâce à la vision chrétienne et à l'activité pleine d'amour de Mary Baker Eddy.
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