Editoriaux

Il vous est peut-être arrivé, l’espace d’un instant, de vous surprendre à regarder et à écouter ce qui se faisait ou se disait à côté de vous, avec une faculté de perception inhabituelle. Des scènes de la vie quotidienne acquièrent alors une intensité et un relief qui leur confère un caractère mémorable.

Si l’on vous demandait de dresser une liste des éléments indispensables à la vie, vous commenceriez sans doute par la nourriture et l’eau. On pourrait ajouter aussi peut-être le vêtement et un habitat approprié; et en conclure que, ces besoins primordiaux satisfaits, la vie humaine peut se perpétuer comme elle le fait depuis des milliers d’années.

Renards, ours polaires, phoques à secourir, singes qui apprennent à « parler », et la liste n’est pas finie.

J'avais un jour une conversation avec un ami, alors gravement préoccupé de ce qu'il considérait comme un manque d'ambition pour lui-même. Il éprouvait des difficultés à persévérer dans la poursuite des buts qu'il se fixait, s'agissant de choses pourtant nécessaires.

Salomon est le symbole de la sagesse. La façon habile dont il détermina, entre deux plaignantes, laquelle était réellement la mère d'un bébé, a traversé les siècles.

Il est des gens qui franchissent de grandes distances pour cela. Ils en sont avides.

Quand des procédés blessants vous prennent au dépourvu, cela fait souffrir. C'est une chose qui arrive à bien des gens.

Il arrive parfois que l'entendement humain oppose de la résistance à l'idée de la guérison métaphysique; il peut même aller jusqu'à douter que le pouvoir divin soit « un secours qui ne manque jamais dans la détresse », un secours réel. Cela peut être particulièrement difficile si une douleur, une maladie vous fait souffrir depuis très longtemps.

Sur la place du Parlement, à Londres, se dresse une statue de Winston Churchill qui, malgré sa taille modeste, possède une force étonnante. Les dimensions de la sculpture n'ont rien de monumental, mais l'artiste est parvenu à reproduire une qualité que le monde a tant appréciée chez cet homme: une ferme invincibilité.

Êtes-vous pour la pratique de la Science Chrétienne Christian Science (’kistienn ’saïennce) ? Bien sûr ! Nous le sommes tous. Mais nous devons peut-être nous assurer que nous apprécions le traitement donné par les praticiens de la Science Chrétienne autant après, qu’au moment où nous l’avons reçu ! Il arrive que les gens aient, côté gratitude, un « trou de mémoire » à peu près au moment où il faudrait régler le praticien.