
Editoriaux
Lorsque Mary Baker Eddy fut guérie par sa découverte de la Science Chrétienne, elle témoigna activement des effets inégalés de cette découverte. A trois reprises, elle décrit dans son œuvre les principaux avantages de la guérison par des moyens spirituels, sans aucun recours matériel.
S’accoutumer à la croyance qu’un ego imparfait, que nous appelons « je » ou « moi », et dont la vie se déroule dans la matière, devienne un jour parfait, c’est en réalité croire en quelque chose qui n’est nullement la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) . Le seul Je, ou Ego, c’est Dieu, lequel est d’ores et déjà parfait.
Il n’y a pas très longtemps, ma femme et moi, nous traversions en voiture le col Jaun dans les Alpes suisses. Très haut sur l’étroite route de montagne, nous sommes tombés sur une colonne de soldats suisses.
En langue esquimau, il existe une quantité de mots pour désigner la neige. Cela se comprend.
Il est clair que nous voyons se réaliser dans nos années quatre-vingt une prédiction des années soixante: celle que le monde allait devenir un « village planétaire ». La guerre, les avatars de la politique ou de l’économie, poussent des milliers de gens à abandonner leur terre natale.
L’agnosticisme, en fait, ne nie pas l’existence de Dieu. Ce que nie vraiment l’agnostique, c’est la possibilité de connaître Dieu avec certitude.
La guérison n’a pas de prix. Les gens suivaient Christ Jésus et le recherchaient parce qu’il guérissait.
Il y a des gens pour qui le millénium se limite à une période sainte de mille ans pendant laquelle le Christ doit régner sur la terre. Mais le message d’où est tirée cette information littérale (Apoc.
J'étais chez moi, un après-midi, lorsque notre fille, qui n'a pas encore l'âge d'aller à l'école, pénétra dans mon bureau. Elle me fit un petit sourire et monta sur mes genoux.
Judas avait les armes du monde. Jésus n'en avait pas une seule et ne choisit pas les moyens de défense du monde.