
Editoriaux
L'École du Dimanche, c'est l'église. Les classes sont peut-être situées à côté de l'église (ou au sous-sol), mais l'École du Dimanche n'est pas une entité à part ni un appendice.
Lorsque j'étais adolescent, l'École du Dimanche de la Science Chrétienne a apporté un changement considérable dans ma vie. Cela ne s'est pas fait tout seul.
« Graceland » est le titre d'un album enregistré, il y a deux ans, par le chanteur Paul Simon et qui devait, l'année dernière, remporter le prix « Grammy » décerné par l'Académie américaine des arts et des techniques de l'enregistrement. Une bonne partie des chansons étaient accompagnées par des musiciens et des chanteurs africains.
Lorsque Christ Jésus a fondé son église sur le roc, Christ, il a immédiatement proclamé son inviolabilité en disant: « Les portes du séjour des morts ne prévaudront point contre elle. » Matth.
Une série d’articles récemment parue dans The Christian Science Monitor et intitulée: « Children in darkness — The exploitation of innocence » [Les enfants de l’obscurité: l’innocence exploitée] a mis en relief la situation tragique où se trouvent des millions d’enfants, dans différentes parties du monde, exploités jour après jour, au travail, à la guerre ou comme objets sexuels. Le sort pitoyable réservé à ces jeunes, qui constituent une part non négligeable de la population adulte future de la planète, surtout dans les pays en voie de développement, où la plupart des familles vivent au-dessous du seuil de pauvreté, montre clairement combien il est nécessaire de mieux comprendre ce que représentent les enfants aujourd’hui sur terre.
Jusqu’alors, ils avaient dû mener une existence banale. C’étaient des gens « comme tout le monde », deux hommes « moyens » qui se livraient aux occupations journalières de l’existence terrestre.
Sept des Dix Commandements commencent par une interdiction. Si c’est là ce que nous avons surtout retenu de nos années d’École du Dimanche, cela peut sembler donner une idée bien négative de Dieu.
« Que la lumière soit ! » Gen. 1:3.
« Un événement pareil n’arrive qu’une fois dans la vie d’un horticulteur. » C’est en ces termes qu’un botaniste du jardin botanique de l’Université de Californie a décrit la floraison d’une plante rare appelée Puya raimondi.
Être enfant, c’est avoir perpétuellement le sentiment que quelque chose va commencer et que des événements heureux vont se produire. Être enfant, c’est voir les choses qu’on regarde, ne pas cesser de contempler les nuages, ou la neige qui tombe, sous prétexte qu’on a déjà vu tout cela.