Editoriaux
« Suis-je le gardien de mon frère ? » Gen. 4:9.
Mon amie monta dans le toboggan avec son mari et l’un de leurs deux fils. C’était leur première descente de l’hiver.
Il n’existe pas de situation où ne puisse nous parvenir l’aide de l’Amour divin. La nature ne tarit pas d’exemples touchants de la façon dont l’Amour nous soutient dans nos efforts méritoires.
Ce que l’apôtre Paul a écrit sur la prière dut remuer au plus profond d’eux–mêmes les premiers chrétiens, de même que ses paroles ont, depuis, constitué un défi pour tous les lecteurs du Nouveau Testament: « Soyez toujours joyeux. Priez sans cesse.
Lorsque Mary Baker Eddy fut guérie par sa découverte de la Science Chrétienne, elle témoigna activement des effets inégalés de cette découverte. A trois reprises, elle décrit dans son œuvre les principaux avantages de la guérison par des moyens spirituels, sans aucun recours matériel.
S’accoutumer à la croyance qu’un ego imparfait, que nous appelons « je » ou « moi », et dont la vie se déroule dans la matière, devienne un jour parfait, c’est en réalité croire en quelque chose qui n’est nullement la Science Chrétienne Christian Science (’kristienn ’saïennce) . Le seul Je, ou Ego, c’est Dieu, lequel est d’ores et déjà parfait.
Il n’y a pas très longtemps, ma femme et moi, nous traversions en voiture le col Jaun dans les Alpes suisses. Très haut sur l’étroite route de montagne, nous sommes tombés sur une colonne de soldats suisses.
En langue esquimau, il existe une quantité de mots pour désigner la neige. Cela se comprend.
Il est clair que nous voyons se réaliser dans nos années quatre-vingt une prédiction des années soixante: celle que le monde allait devenir un « village planétaire ». La guerre, les avatars de la politique ou de l’économie, poussent des milliers de gens à abandonner leur terre natale.
L’agnosticisme, en fait, ne nie pas l’existence de Dieu. Ce que nie vraiment l’agnostique, c’est la possibilité de connaître Dieu avec certitude.