Editoriaux
L’Amour est devenu mon objectif principal, et le résultat a été que j’ai pu agir sans stress. Au lieu de me sentir à la merci des choses à faire, j’étais libre et sereine, quel que soit le nombre de tâches achevées.
Face à la tentation de croire à la réalité du mal, agissons comme le firent Jésus et Elisée. Rejetons la peur et prions pour que nos yeux s’ouvrent pour voir au-delà du mensonge et discerner ce qui se passe réellement dans le royaume de Dieu, où tout est bon.
Il existe une liberté fondamentale que chacun peut toujours revendiquer, et qui est un droit divin, non humain. Il est juste d’écouter les directives de Dieu, de L’entendre, d’en tenir compte, d’en retirer ainsi des bienfaits pour soi et de bénir les autres.
La grâce permet au Christ, l’idée divine de Dieu, si bien présentée par Jésus tout au long de son ministère de guérison, de nous définir et de nous animer.
L’approvisionnement de Dieu ne dépend pas des lois humaines de l’économie.
Maintenant même, la source de tout bien est disponible pour chacun, toutes générations confondues. Chacun peut la connaître, c’est-à-dire connaître Dieu et ressentir le pouvoir de l’Amour divin.
Notre Père-Mère, Dieu, notre Parent divin, met de l’ordre dans notre emploi du temps, protège nos enfants et nous procure le calme, la force et la guérison nécessaires pour faire face aux problèmes auxquels nous sommes confrontés.
Qu’en est-il de la croyance que certaines personnes sont simplement inspirées par nature alors que d’autres ne le sont pas ? En vérité, aucun des enfants de Dieu n’est privé d’une seule qualité divine ni d’une inclination naturelle vers Dieu.
À chaque guérison, Jésus démontra que l’Entendement gouverne tout parce qu’il est Tout, lui l’unique Entendement.
L’idée que le Christ exprime éternellement la nature spirituelle de Dieu, avec tout ce que cela implique, a eu l’effet d’un séisme. J’ai réalisé que le Christ et toute la puissance ré-génératrice de Dieu étaient toujours avec moi et avec tous.