Editoriaux
La Vie nous donne, en tant qu’enfants de Dieu, la capacité de surmonter le péché, la maladie et les limites de toutes sortes, car elle nous fait prendre conscience du fait que notre existence véritable n’est ni biologique ni psychologique, mais l’expression immortelle de la Vie divine.
La prière est une communion avec l’Amour infini ; elle transforme la conscience, modelant et élevant les mobiles, les attentes et les actes pour les rendre plus désintéressés et plus efficaces, et instillant dans le cœur plus d’amour pour son prochain.
Quand on comprend vraiment que tous ont « un seul Dieu, un seul Entendement », la raideur de pensée cède à l’innovation, et la haine et la peur au pouvoir transformateur de l’Amour divin, Dieu.
Quel que soit le comportement de ceux qui nous entourent, l’Amour exige que nos pensées et nos actions soient inspirés par la loi de l’Amour afin de les bénir. En obéissant à l’Amour, nous plaçons notre confiance dans notre Père-Mère, Dieu, qui est à jamais digne de confiance.
Il y a bien des années, j’ai appris une leçon importante sur la différence entre une erreur et un péché, lorsque Dieu a attiré mon attention par ces mots : « Hé, patate ! »
Nous tourner vers Dieu nous rend capables d’accepter le bien, de nous engager à prier sans relâche et d’attendre sans faillir la paix et la guérison.
En réalité, nous sommes déjà en sécurité et complets en tant qu’expressions de l’Amour. Toute suggestion selon laquelle un problème nous dépasse est un mensonge hypnotique par nature, mais en fin de compte sans aucun pouvoir.
La Science Chrétienne montre que, lorsque nous nous appuyons sur Dieu et que nous cédons à la suprématie et à la sollicitude de l’Amour divin, nous découvrons de plus en plus des raisons de nous réjouir plutôt que de nous inquiéter.
Dans la nature spirituelle de chacun, le féminin et le masculin sont parfaitement équilibrés et également essentiels.
L’enseignement et l’œuvre de Christ Jésus avaient pour but d’aider les gens à comprendre et à ressentir, dans leur vie quotidienne, la vitalité du royaume des cieux, la suprématie et la réalité de Dieu, le bien. Cette bonne nouvelle de la puissance et de la souveraineté de l’Esprit a pu d’abord leur sembler être une promesse lointaine, déconnectée de leur vie quotidienne, en laquelle ils ne pouvaient qu’espérer.