Editoriaux
Ceux qui recherchent le secours divin peuvent ressentir de manière tangible la présence curative du Christ et déclarer avec assurance : « Je vais bien, et je le sais. »
« Faire ce que l’on peut », c’est inclure dans nos prières notre quartier, notre localité et le monde ; c’est réaliser que l’on peut changer le cours des événements.
Déjà dans les temps bibliques, beaucoup firent confiance à Dieu concernant leurs ressources financières, et ne le regrettèrent pas.
En réalité, le chaos ne peut pas nous dominer. Aucun entendement mortel ne peut influencer ou manipuler notre vie et brouiller notre vision de la véritable ligne de conduite menant à la liberté, à la concorde et à la stabilité.
L’Eglise joue un rôle crucial afin de soutenir notre engagement individuel et collectif pour élever l’humanité vers un bien-être rempli de joie.
La Vie nous donne, en tant qu’enfants de Dieu, la capacité de surmonter le péché, la maladie et les limites de toutes sortes, car elle nous fait prendre conscience du fait que notre existence véritable n’est ni biologique ni psychologique, mais l’expression immortelle de la Vie divine.
La prière est une communion avec l’Amour infini ; elle transforme la conscience, modelant et élevant les mobiles, les attentes et les actes pour les rendre plus désintéressés et plus efficaces, et instillant dans le cœur plus d’amour pour son prochain.
Quand on comprend vraiment que tous ont « un seul Dieu, un seul Entendement », la raideur de pensée cède à l’innovation, et la haine et la peur au pouvoir transformateur de l’Amour divin, Dieu.
Quel que soit le comportement de ceux qui nous entourent, l’Amour exige que nos pensées et nos actions soient inspirés par la loi de l’Amour afin de les bénir. En obéissant à l’Amour, nous plaçons notre confiance dans notre Père-Mère, Dieu, qui est à jamais digne de confiance.
Il y a bien des années, j’ai appris une leçon importante sur la différence entre une erreur et un péché, lorsque Dieu a attiré mon attention par ces mots : « Hé, patate ! »