Editoriaux
Tout ce qui semble en sommeil, voire inexistant, dans notre vie – le bonheur, les opportunités ou la santé – peut s’épanouir librement grâce au pouvoir de l’amour de Dieu.
En comprenant que l’on n’a d’autre identité que celle que Dieu a créée, on reconnaît que la résistance à la croissance spirituelle, qualifiée par elle-même de distraction, n’est rien d’autre qu’une tromperie dont on fait les frais.
Le chemin du Christ est fait d’humilité et d’une confiance qui ne fluctue pas, mais qui a la constance de l’Amour et de la Vérité divines.
En toute situation, qu’il s’agisse de la terreur de la maladie ou du terrorisme dans le monde, ce simple message : « N’ayez pas peur », nous parvient encore aujourd’hui. C’est plus qu’une injonction ; c’est la voix de la Vérité qui nous dit que nous n’avons pas à avoir peur.
Lorsque nous nous endormons le soir, nous ne doutons pas que le jour se lèvera le lendemain matin, et cela survient sans aucun effort. De même, nous aussi, émergeons doucement dans la compréhension de l’infinité de l’Esprit parfait.
Ceux qui recherchent le secours divin peuvent ressentir de manière tangible la présence curative du Christ et déclarer avec assurance : « Je vais bien, et je le sais. »
« Faire ce que l’on peut », c’est inclure dans nos prières notre quartier, notre localité et le monde ; c’est réaliser que l’on peut changer le cours des événements.
Déjà dans les temps bibliques, beaucoup firent confiance à Dieu concernant leurs ressources financières, et ne le regrettèrent pas.
En réalité, le chaos ne peut pas nous dominer. Aucun entendement mortel ne peut influencer ou manipuler notre vie et brouiller notre vision de la véritable ligne de conduite menant à la liberté, à la concorde et à la stabilité.
L’Eglise joue un rôle crucial afin de soutenir notre engagement individuel et collectif pour élever l’humanité vers un bien-être rempli de joie.