L’un de mes plus anciens souvenirs liés à Noël remonte à l’époque où j’avais une douzaine d’années. Un soir, mes parents étaient sortis pour faire des courses, et c’était un nouveau sentiment pour moi d’être tout seul dans la maison silencieuse, mais ornée de décorations qui m’étaient familières comme les branches vertes toute fraîches sur le manteau de la cheminée ou les bougies allumées aux fenêtres.
Je me suis assis près de l’arbre de Noël et j’ai souhaité que ce que je ressentais en cet instant dure pour toujours. Cela n’avait absolument rien à voir avec les vacances scolaires ou les cadeaux de Noël. C’était juste un trop-plein d’amour pour tous et pour tout qui ne faisait que s’accroître. C’était un sentiment bien défini et bien distinct, très différent des pensées de tous les jours, et pourtant parfaitement réel et naturel. Je me suis dit que je m’en souviendrais toujours.
Honnêtement, je ne m’en suis pas souvenu ; je l’ai même oublié pendant très longtemps. Il m’est cependant revenu à la mémoire récemment alors que je pensais aux choses remarquables que la Science Chrétienne nous enseigne au sujet de Noël.
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