Quand j’étais étudiante à Londres, je suis allée rendre visite à mes parents un week-end. Ils habitaient à une heure de route de la ville. Dans le bus qui me ramenait à l’université le dimanche soir, je me suis sentie très mal, présentant tous les symptômes de la grippe. Je toussais notamment beaucoup.
Arrivée au dortoir, j’ai eu beaucoup de peine à regagner ma chambre. J’ai pu téléphoner à ma monitrice d’école du dimanche, qui était aussi praticienne de la Science Chrétienne, et lui ai demandé de m’aider par la prière. Elle m’a fait part de quelques pensées spirituelles, puis je lui ai demandé quelles vérités je pourrais garder à l’esprit pour contrer la toux. « L’erreur n’a pas de voix et ne peut pas se faire entendre », m’a-t-elle répondu. C’est une idée qui m’a vraiment beaucoup aidée et qui est restée avec moi au cours des années.
Je me suis couchée et je ne pouvais rien faire d’autre que de rester allongée. Après quelques jours, j’ai commencé à me dire que je devrais faire des efforts de mon côté et ne pas me reposer uniquement sur le traitement métaphysique de la praticienne. J’ai ouvert mon exemplaire de Science et Santé avec la Clef des Ecritures de Mary Baker Eddy et je me suis mise à lire au hasard. Quand je suis arrivée à « l’exposé scientifique de l’être », à la page 468, je l’ai lu et relu. Il commence ainsi : « Il n’y a ni vie, ni vérité, ni intelligence, ni substance dans la matière. Tout est Entendement infini et sa manifestation infinie, car Dieu est Tout-en-tout. »
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