NETTOYAGE DE PRINTEMPS
Oui, c'est en faisant des rangements que j'ai découvert que cela fait plus d'un an que je reçois le Héraut français et que je n'ai toujours pas adressé mes remerciements à toute l'équipe qui publie le Héraut en France depuis janvier 2005.
Chaque fois qu'il arrive, j'ai l'impression qu'un ange frappe à ma porte pour me donner réconfort, vérité et amour. Deux numéros en particulier m'ont beaucoup aidée: celui de juillet-août 2005, avec des articles magnifiques sur les apparences et la beauté véritable; et celui de novembre 2005 [Vaincre le mal-être], avec les articles de MM. Ennemoser et Ballard qui apportent des idées utiles pour faire face à ses peurs et surmonter la dépression. J'ai aussi pu apporter de l'aide à des personnes qui ne connaissaient pas la Christian Science en leur donnant un Héraut.
Je vous remercie et je vous félicite pour le travail accompli pour la préparation du Héraut, qui nous permet de voir le quotidien autrement, à travers les idées exprimées par celle qui a découvert et fondé la Christian Science, Mary Baker Eddy.
Les Lilas, France
BIEN CHERS AMIS ET AMIES,
Je remercie l'équipe du Héraut pour l'excellent contenu du numéro de février 2006, intitulé « Sortir de la pénurie ».
J'apprécie en particulier l'article intitulé « L'important, c'est ce qu'on pense ». Mme Jean Hebenstreit, praticienne et professeur de Christian Science, indique « qu'on ne peut être touché que par ses propres pensées. C'est pourquoi chacun est responsable de ce qu'il pense ». Elle parle également du caractère « définitif » de nos affirmations qui confirment ce que Dieu est en ce moment en chacun. Elle a retenu mon attention lorsqu'elle note que certaines personnes disent qu'elles vont « dévoiler l'erreur ». Or que trouvent-elles ? demande Mme Hebenstreit: « Rien. Il n'y a pas de réalité dans le mal ni dans le masque qu'il prend. » J'aime aussi l'idée qu'on se débarrasse des fantômes en sachant qu'ils sont irréels. De même, on triomphe du mal en sachant qu'il est irréel du fait de la totalité de Dieu. L'auteur de l'article nous rappelle aussi que Jésus, en guérissant, n'ignorait pas l'erreur, il l'éliminait. Il ne réagissait pas à l'erreur, il ne l'acceptait tout simplement pas.
Merci à Jean Hebenstreit pour son partage d'idées précieuses et utiles.
Californie, U.S.A.
