À l'époque où je me suis mise à étudier la Christian Science, j'ai commencé à souffrir d'un problème dermatologique pénible qui a persisté pendant plusieurs années. Pendant tout ce temps, j'ai travaillé avec un praticien de la Christian Science qui priait pour moi tous les jours, et auquel je rendais visite chaque semaine. À un certain moment, pour avoir un avis au sujet de cette affection, j'ai consulté un médecin qui m'a prescrit un traitement à long terme, tout en m'avertissant qu'il n'était pas sûr que celui-ci puisse me guérir. J'ai alors décidé de m'en tenir au traitement fondé sur la prière.
Au début, mes vêtements couvraient la peau atteinte, mais l'affection a continué de s'étendre jusqu'à mon visage. J'avais de plus en plus peur. Un jour où j'étais en larmes lors d'une conversation avec le praticien, ce dernier me demanda si je m'attendais à la guérison. C'était une personne compatissante et qui manifestait de la bonté à mon égard comme patiente, et je me suis donc demandé pourquoi il m'avait posé cette question alors que mon désir de guérir ne faisait aucun doute. Même si je n'arrivais pas à comprendre ce qu'il avait voulu dire, je savais qu'il s'appuyait sur Dieu de façon ferme et radicale, et que son attente de la guérison était tout aussi ferme; d'autre part, l'amour de Dieu s'exprime parfois par un réveil doux mais ferme de la pensée.
Après une longue journée, je suis rentrée à la maison et j'ai pris une douche; pendant ce temps, je priais en pensant à la question du praticien, et le premier verset d'un cantique m'est venu à l'esprit:
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