Au printemps de l’année dernière, j’étais toute joyeuse de penser à l’arrivée prochaine du bébé dont j’allais être grand-mère, lorsque je reçus un jour un appel de mon mari sur mon téléphone portable: il m’informait que l’on avait dit à mon fils et à son épouse que le bébé se présentait par le siège et que la position du placenta faisait obstacle à la naissance. On leur avait demandé de faire hospitaliser la future maman le lendemain pour un accouchement par césarienne.
Je partais alors de chez une amie à la campagne et, tout en conduisant pour rentrer à la maison, je regardais le ciel plein de beauté et ressentais profondément la présence de Dieu. J’entendis alors le message du Christ comme s’il m’était directement adressé: « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » (Marc 12:17) Je me rendis compte que les paroles de Jésus rapportées par la Bible étaient clairement un message angélique me conseillant sur la meilleure façon de prier, ou de penser correctement, au sujet de la situation qui avait été présentée à ma pensée. Je vis soudain la relation entre “César” et “césarienne”, terme représentant la technique qu’on dit avoir été utilisée pour la naissance de Jules César ou d’un membre de sa famille. Ma prière se recentra sur le fait spirituel selon lequel les idées, ou enfants de Dieu, n’ont rien à voir avec la conception mortelle de la vie qui la fait commencer par la naissance et finir par la mort. Ses enfants sont spirituels et l’idée que Dieu se fait de Son enfant est pour toujours complète et une avec Lui.
Je savais que mon fils comptait sur mon soutien par la prière et, de retour à la maison, je me suis orientée vers le passage suivant de Science et Santé avec la Clef des Écritures (p. 19-20): « Jésus insista sur le commandement: “Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face”, ce qui peut être rendu par: Tu ne croiras pas que la Vie est mortelle; tu ne connaîtras pas le mal, car il y a une seule Vie, savoir Dieu, le bien. Il rendait à “César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu.” Il ne rendit finalement aucun hommage aux formes de doctrine ni aux théories des hommes, mais il agit et parla selon ce qui l’animait, selon l’Esprit, non les esprits. »
Connectez-vous pour accéder à cette page
Pour avoir le plein accès aux contenus du Héraut, activez le compte personnel qui est associé à tout abonnement au Héraut papier ou abonnez-vous à JSH-Online dès aujourd’hui !