Ces dernières années, les données économiques de nombreux pays ont été abondamment analysées: inflation, récession, chômage, scandales financiers... Des économistes de premier plan ont suggéré que des changements dans la politique industrielle et dans la réglementation du commerce extérieur seraient les bienvenus. Les gouvernements et les ministères des Finances ont commencé à s’attaquer à ces problèmes. Mais on n’a encore rien vu qui s’apparente à une solution globale.
Je crois, cependant, qu’il est possible de venir à bout de ces difficultés avec une approche différente, en recourant à des moyens spirituels, et non matériels. Sur une échelle microéconomique, j’ai vu de nombreuses personnes, à commencer par moi-même, triompher de graves problèmes financiers grâce à la prière. Je ne vois donc pas pourquoi les principes d’une telle prière seraient moins efficaces si on les appliquait à l’échelle de la macroéconomie.
Il y a plusieurs années, j’exerçais la médecine à Bombay. Comme j’avais limité ma pratique pour des raisons familiales, mes revenus étaient à peine suffisants pour vivre. En outre, je devais payer une facture importante dont l’échéance approchait. J’attendais cette facture, mais sans en connaître le montant exact. Lorsque je l’ai reçue, j’ai été abasourdie: je n’avais encore jamais eu à régler un montant si élevé!
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