Le Boston Globe, quotidien de la Nouvelle Angleterre, a fait était en juillet dernier d’un certain nombre d’études menées actuellement, dont certaines financées par le gouvernement fédéral. Il s’agit de savoir quels sont les effets de la prière sur la santé des patients. S’il n’est pas sûr que la foi en Dieu puisse être valablement mesurée selon les méthodes des scientifiques, l’article cite cependant un professeur de médecine et de cardiologie qui a conduit une étude récente sur la prière en matière de soins cardiaques. Il a déclaré: « [La prière pour les malades] est la thérapie la plus ancienne et la plus pratiquée sur toute la face de la terre. Nous devons savoir si nous pouvons offrir de meilleurs soins de santé en y prêtant attention et en la comprenant mieux. »
Boston Globe
(Massachusetts, U.S.A),
25 juillet 2005
Une revue scientifique anglaise, New Scientist, rapporte les résultats d’une étude sur la méditation qui a été menée auprès d’étudiants d’université volontaires. Les étudiants avaient été répartis en trois groupes, sans distinction de confession ou de croyance religieuse, afin d’étudier et de comparer les effets de différentes formes de méditation. On a demandé aux étudiants du premier groupe, le groupe de méditation spirituelle, de se concentrer, lors de leurs périodes de méditation, sur des pensées comme « Dieu est amour » ou « Dieu est paix ». Les étudiants du deuxième groupe, le groupe de méditation séculière, ont eu à employer des phrases telles que « Je suis heureux » ou « Je suis joyeux ». Il a été simplement demandé aux membres du troisième groupe de se relaxer. Il s’est avéré que les étudiants affectés à la méditation spirituelle montraient une réduction de l’anxiété par rapport aux membres des deux autres groupes. Le professeur d’université qui conduisait la recherche a estimé que la méditation spirituelle apportait davantage qu’une relaxation plus profonde. « Il est probable, a-t-elle noté, que la pratique de la méditation spirituelle comporte quelque chose d’unique que la méditation séculière et la relaxation ne peuvent communiquer pleinement. »
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