Quand j’apprends à mes grands élèves de l’école du dimanche à s’en remettre à Dieu pour trouver le bien dans leur vie, je mentionne le premier chapitre de la Genèse, où il est dit que Dieu est bon et qu’Il a créé l’homme et la femme égaux et totalement bons.
Voir la création déjà parfaite, c’est ainsi que Jésus guérissait, comme l’explique Mary Baker Eddy dans Science et Santé avec la Clef des Écritures: « Jésus voyait dans la Science l’homme parfait, qui lui apparaissait là où l’homme mortel pécheur apparaît aux mortels. En cet homme parfait le Sauveur voyait la ressemblance même de Dieu, et cette vue correcte de l’homme guérissait les malades. » (p. 476)
Jésus demanda à un homme qui avait la main « sèche » [paralysée], et dont l’histoire est relatée dans trois des quatre évangiles, d’étendre sa main. Quand fut-il guéri ? Si Jésus voyait « l’homme parfait, qui lui apparaissait là où l’homme mortel pécheur apparaît aux mortels », alors Jésus voyait que la main de l’homme n’avait jamais été sèche, qu’elle était déjà parfaite. Et c’est cette vision de l’homme, dans son état actuel de perfection, qui produisit la guérison.
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