C’est d’Omaha, aux États-Unis, de Fellbach, en Allemagne, en passant par Sherman Oaks, en Californie et par Londres qu’est venu le mot qui a résumé l’Assemblée annuelle 2003 de L’Église Mère et symposium: l’universalité.
« J’aime la diversité », s’exclame Natalie Zdan d’Omaha. « Et j’aime voir que le mouvement de la Christian Science est international », ajoute son amie, Frances White, de Londres.
Helga Küstner de Fellbach approuve. « L’assemblée m’a permis de sentir que j’appartiens à quelque chose de grand, quelque chose de beaucoup plus universel que ce que j’imaginais, fait-elle remarquer. Je ne savais pas que la Christian Science avait atteint des régions du monde aussi reculées. »
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