Manger. Un défi pour ceux qui n’ont pas assez de nourriture, un défi pour ceux qui en ont beaucoup trop... Parmi les choses les moins bien distribuées et gérées de la planète, la nourriture semble être celle qui pose le plus de problèmes. Sans compter le fait que lorsqu’elle est abondante en quantité, c’est sa qualité qui laisse très souvent à désirer!
Il y a quelques années, les poulets nourris aux poudres de poissons nous surprenaient par leur goût, disons, peu naturel. De nos jours, c’est la viande de bœuf qui est parfois contaminée, et semble être agent d’une maladie incurable.
Mary Baker Eddy, qui a fondé le mouvement de la Christian Science, a écrit des mots qui sont absolument révolutionnaires et qui nous apportent beaucoup de réconfort: « Le fait est que la nourriture n’affecte pas la Vie absolue de l’homme, et cela devient évident en soi lorsque nous apprenons que Dieu est notre Vie. » (Science et Santé avec la Clef des Écritures, p. 388)
Cela ne revient pas à dire qu’il ne faut pas tout faire pour combattre la famine ou qu’on doit manger n’importe quoi ou encore, qu’on peut adopter la politique de l’autruche. Au contraire cela nous encourage à mieux comprendre que la base de notre santé (et donc de notre vie réelle) est spirituelle, elle est en Dieu, et dépend de Dieu seulement et entièrement. Cette compréhension, dont parlent les articles de notre sujet de couverture, est source d’une satisfaction profonde pour chacun.
