A une époque où elle venait de découvrir la Science du christianisme, Mary Baker Eddy a demandé au fils d’un couple d’amis Quaker si elle pouvait le guérir d’un abcès douloureux qu’il avait au doigt. Il accepta et promit d’obéir à ses instructions. Le lendemain il était guéri.
L’un des biographes de Mary Baker Eddy écrit que cela fit grande impression sur cette famille. « Personne ne savait au juste que dire, et on n’était guère disposé à accepter comme un miracle la guérison d’un doigt malade.
« “Mais ce n’est pas un miracle”, leur dit Mary Baker Eddy. “La guérison est naturelle, divinement naturelle, comme l’est toute vie bien comprise.” » Sibyl Wilbur, La vie de Mary Baker Eddy (Boston: The Christian Science Publishing Society, 1960), p. 129.
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