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« Mon âme, bénis l'Éternel, et n'oublie aucun de...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de juillet 1998


« Mon âme, bénis l'Éternel, et n'oublie aucun de ses bienfaits » (Ps. 103:2).

Il y a plus de trente ans, notre dernier enfant est venu au monde avec deux mois d'avance, en bonne santé et sans problème, grâce à l'aide d'une praticienne de la Christian Science dévouée et à notre confiance absolue en Dieu. C'est avec une profonde reconnaissance que je me rappelle chaque année cet événement merveilleux et mon cœur est rempli de louange et de gratitude. L'enfant était si vigoureux qu'on n'a pas eu à le placer dans une conveuse, et il buvait déjà des petits biberons. Ce n'était pas le scénario habituel, comme nous l'a expliqué l'infirmière chargée des nourrissons. Le petit Daniel se développait bien et quand il a eu atteint le poids de cinq livres, nous avons pu l'emmener à la maison.

J'aimerais aussi relater ici une guérison que j'ai eue il y a bientôt dix ans. Un dimanche après-midi, nous nous promenions dans le village et alors que j'admirais les balcons d'une façade, je mis par mégarde le pied dans une dépression au bord de la chaussée. Cela me fit très mal, mais je réussis à me rendre en boitant jusqu'à la maison de mes parents, située trente mètres plus loin. En chemin, j'attachai ma pensée à « l'exposé scientifique de l'être » qui se trouve dans Science et Santé (p. 468). Je demandai à mon mari d'aller chercher ma bicyclette, grâce à laquelle je pus rentrer à la maison. Le soir, je ne pouvais plus poser le pied par terre. Je demandais l'aide d'un praticien; pour ma part, je me suis aussi efforcée de savoir et de comprendre que j'étais créée à l'image et à la ressemblance de Dieu, et je rejetai la croyance à un accident. Le lendemain matin, la situation semblait inchangée, mais malgré cela ma pensée était libre de toute crainte et remplie de gratitude. Je chantais et rechantais le cantique No 371 de l'Hymnaire de la Science Chrétienne dont la première strophe dit: « Nous te louons, Seigneur, / Dieu de vie, et nos cœurs / Ne désirent que refléter / Ta pureté. / La grâce de l'Esprit / Nous sauve des conflits; / Plus de tristesse et point d'effroi / Auprès de Toi ! » Le praticien m'a rappelé que nous ne guérissons jamais la matière mais que nous démontrons des qualités spirituelles. Vers midi, je fus capable de me déplacer avec l'aide d'une canne. Le mardi matin je marchais normalement, je pus aller faire des courses en vélo et l'après-midi, cueillir des baies. Le mercredi notre plus jeune fille amena son fils, qui avait deux ans, pour que je le garde pendant toute la journée, et le soir j'étais à mon poste de Première Lectrice à l'église.

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