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Guérison d’une blessure au genou

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne de janvier 1998


Je rends grâces à Dieu pour la Christian Science — la Science du Christ — qui nous permet de comprendre toujours mieux ce qu’est l’homme, l’homme parfait de la création divine.

Il y a environ une année, j’ai eu un accident en aidant quelqu’un à soulever et déplacer un meuble de jardin extrêmement lourd. Tout d’abord, je ne me rendis pas compte que l’intérieur de mon genou droit avait été blessé. Mais il commença bientôt à me faire de plus en plus mal, et il devint difficile de ne pas boiter. Presque chaque nuit la douleur me réveillait, et elle devint constante.

Mon étude quotidienne de la Leçon biblique du Livret trimestriel de la Christian Science m’inspirait très souvent, et je pouvais alors rejeter intelligemment la pensée que la douleur et la discordance physiques étaient inévitables. Il en résultait une amélioration pendant quelque temps, mais la difficulté revenait toujours.

J’avais déjà été impressionné par deux guérisons précédentes de ce que j’avais alors pensé être de graves troubles internes. Je savais que le processus de guérison implique la purification et la régénération du moi, l’effacement de faux concepts, la recherche permanente du vrai, une réelle soumission à la Vérité.

Bien qu’habitant un pays d’outre-mer, le praticien avec qui j’avais été en relation, m’avait constamment aidé par la prière à voir et à vaincre tous les obstacles jusqu’à la guérison complète.

La guérison en Christian Science est toujours une double bénédiction. C’est la bénédiction de la guérison elle-même, bien sûr, mais aussi et surtout, la bénédiction d’une meilleure compréhension et réalisation de ce que nous sommes en réalité, tels que Dieu nous a créés.

Au cours de ces deux précédentes guérisons, j’avais compris bien des choses alors que je priais assidûment, soutenu par des citations de la Leçon biblique de la semaine ou encore par une strophe de l’un de nos cantiques ou par la lecture d’un article de l’un des périodiques de la Christian Science. Je me rappelle d’un fait spirituel puissant, sur lequel mon attention avait été attirée, et qui s’était imposé à moi dans la Leçon où il était écrit au sujet de Dieu, l’Esprit: « Il emplit tout l’espace... » (Science et Santé, p. 33) Cette vérité avait contribué à la guérison. J’en étais arrivé à réaliser que si l’Esprit remplit tout l’espace, il ne reste aucune place pour une inharmonie quelconque, la création de Dieu ne pouvant être que complète. Mais il m’avait fallu comprendre cette vérité dans toutes ses implications.

Quant à l’accident à mon genou, je me rendis compte qu’il aurait pu être guéri plus vite s’il n’y avait pas eu la pensée latente qu’une intervention chirurgicale pourrait, dans ce caslà, être une solution. Cette pensée dont j’avais à peine conscience au départ semblait présenter une « roue de secours ». Un de mes amis, chirurgien réputé, m’avait dit que ce type d’intervention était très courant, qu’il était totalement garanti, que la marche normale était rétablie en trois jours, sans l’aide de cannes. Par ailleurs, une assurance aurait couvert tous les frais. C’était réellement une suggestion insidieuse et aggressive !

Cependant, je savais que l’erreur doit toujours être regardée en face et qu’il est important de comprendre ce qu’elle prétend afin de pouvoir la détruire. Je savais aussi qu’on ne peut détruire l’erreur que lorsque l’on se place au « sommet du mont », c’est-à-dire lorsque l’on a conscience de la Vérité (cantique 74 de l’Hymnaire de la Science Chrétienne). Ayant compris que l’erreur n’attendait que d’être détruite, et me rappelant la magistrale question d’Elie: « Jusques à quand clocherez-vous des deux côtés ? » (I Rois 18:21), je pris position avec une totale fermeté. Dès que la pensée d’un traitement autre que par la prière fut radicalement éliminée de ma conscience, je réalisai beaucoup mieux qu’il n’y avait qu’une seule loi de Vie, qu’en Dieu était toute la vie et que le seul homme véritable est celui de la création parfaite.

Alors le message de guérison vint à moi. Il vint comme ceci: le lendemain, à mon réveil, le mot « incorporel » s’imposa à ma pensée, et ceci jusqu’à ce que je me sente appelé à ouvrir Science et Santé à la première page du chapitre Récapitulation où se trouve la définition de Dieu en Christian Science (p. 465).

Ce que j’entrevis alors me fit poser la question: Si je suis en réalité l’image et la ressemblance d’un Dieu incorporel, où donc peut être le concept d’un corps physique et souffrant me concernant ? — Nulle part ! — C’est alors que la guérison se produisit.

Il est très clair pour moi que l’étude de la Christian Science est une invitation constante à savoir et à comprendre qui nous sommes en réalité dans l’Amour divin, et aussi que nous avons tout dans cet Amour.

Cette Science révélée, que Mary Baker Eddy a découverte et mise à notre disposition, est le moyen d’éducation spirituelle par excellence.


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