Le fait demeure que le livre d'étude de la Science Chrétienne est en train de transformer l'univers» Écrits divers, p. 372., déclare Mary Baker Eddy dans son livre, Écrits divers.
Le dernier chapitre de Science et Santé, «Les fruits de la Science Chrétienne» est rempli d'exemples de vies transformées, où la santé a été recouvrée et où la qualité de vie a changé simplement en lisant cet ouvrage. Au cours des décennies qui ont suivi sa première parution, les gens ont continué de trouver dans Science et Santé le même pouvoir transformateur qui guérit. Aujourd'hui, des Scientistes Chrétiens et des filiales de l'Église du Christ, Scientiste, consacrent toute leur énergie à Science et Santé en cherchant à le rendre plus accessible. Il en résulte tout naturellement que nous entendons parler, presque chaque jour, de nouveaux lecteurs dont l'existence a été transformée. Quelle preuve de l'utilité de l'Église à laquelle Mary Baker Eddy fait allusion dans son interprétation métaphysique de l'Église, à la page 583 de Science et Santé!
Imaginez ce qui se passerait si les membres de chaque église filiale s'engageaient à redécouvrir ce que le livre d'étude signifie pour eux. Et beaucoup le font. Par exemple, certaines églises ont demandé à tous leurs membres de lire Science et Santé avec la Clef des Écritures de Mary Baker Eddy du début à la fin. Quelle façon productive de renouveler l'affection que nous portons à ce livre ! Étant membre d'une église filiale où il a été récemment demandé aux membres de relire le livre d'étude, je peux dire sans hésiter une seconde que, même s'il y a eu des moments où j'ai dû abandonner certains projets afin d'avoir le temps de me consacrer à ma lecture quotidienne et d'assister aux réunions d'églises supplémentaires qui en ont découlé, j'en ai retiré de grands bienfaits. J'ai ressenti de plus en plus d'enthousiasme et d'admiration devant la perfection de cet immense ouvrage, œuvre de toute une vie. Il me devint de plus en plus clair que ce livre avait été écrit pour toute l'humanité, et ma résolution de prier chaque jour avec ferveur afin de trouver des moyens de le donner à des personnes que je connais, et à des inconnus, s'est fortifiée. Depuis, de nombreuses occasions inattendues de donner le livre se sont présentées: dans une librairie, sur mon lieu de travail et à certains membres de ma famille.
Les membres des églises filiales à qui il a été demandé de relire Science et Santé en entier apprécient encore davantage la douceur avec laquelle Mary Baker Eddy engage le lecteur à entreprendre un voyage de découverte, et la façon dont le livre aide ce dernier à réfléchir aux différents sujets traités. Ils ont constaté que lire des passages connus dans leur contexte les éclaire d'un nouveau jour.
Les membres d'une église ont lu Science et Santé deux fois d'un bout à l'autre. La première lecture terminée, une réunion a été organisée pour parler du livre d'étude. La deuxième fois, ils l'ont lu chapitre par chapitre, et les réunions qui suivaient chaque lecture étaient vivantes, enrichissantes et instructives. Les membres se sont sentis unis, en harmonie, en accord les uns avec les autres. Pendant cette période, ils ont vu augmenter le nombre de leurs membres et des élèves à l'école du dimanche, et les postes à remplir dans l'église ont été pourvus plus facilement.
Les membres d'une église filiale ont eu l'idée de concentrer l'activité de leur église sur la distribution de Science et Santé en le faisant connaître sur le plan individuel. Des exemplaires gratuits de Science et Santé ont donc été mis à la disposition des membres pour qu'ils les donnent. En sept mois, plus de cent exemplaires ont été offerts.
Un membre de cette église, qui assistait à des causeries sur la Bible en compagnie de sa voisine, à l'église Congrégationaliste, a proposé un exemplaire de Science et Santé à assistant du pasteur. Ce dernier lui a répondu qu'il serait très heureux d'en avoir un. Quelque temps plus tard, le même pasteur a donné une causerie sur la prière, et selon le membre, qui était présent, il était évident qu'il avait lu le chapitre sur la prière, même s'il ne citait pas directement le livre d'étude. Le conseil d'administration de l'église filiale écrivit: «Faire connaître "le livre qui guérit", c'est à la fois un privilège et un défi passionnant à relever.»
