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J'étais sur le point de partir...

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1997


J'étais sur le point de partir avec ma femme pour un voyage de six heures en voiture; nous devions nous rendre dans un État voisin où j'allais donner une conférence le lendemain après-midi. Depuis plusieurs jours déjà, j'avais des problèmes de dos. Quand je me suis penché pour soulever les derniers bagages à charger dans la voiture, ce fut comme si quelque chose se déplaçait et j'ai ressenti une très vive douleur dans le bas du dos. A grand-peine, je me suis dirigé vers la voiture et m'y suis installé. C'est ma femme qui a conduit pendant la majeure partie du trajet. Pour ma part, j'ai lu et prié en réfutant vigoureusement le témoignage douloureux des sens physiques et en m'efforçant de mieux comprendre que mon individualité spirituelle indestructible était inséparable de ma source divine, mon PèreMère Dieu. Sous Son gouvernement divin, il ne pouvait y avoir de désordre, de déplacement ni de perturbation, et je priais pour mieux le comprendre. Après quelques heures, mon état s'était suffisamment amélioré pour que je puisse conduire un peu. J'ai senti le vigoureux appui des prières de ma femme pendant toute cette épreuve, comme toujours.

Quand nous sommes arrivés au motel, j'ai continué de prier. Je savais que ce que je devais accomplir était à la gloire de Dieu, et je savais que j'avais le droit de l'accomplir. Toutefois, je passais une très mauvaise nuit, et, le lendemain matin, mon état semblait avoir empiré. Il me vint à la pensée que si c'était tout ce que la vie avait à offrir, cela ne valait pas la peine de vivre. De toute évidence, cette suggestion devait être réduite au silence avec la plus grande fermeté. La Vie, Dieu, nous comble de bienfaits infinis, elle ne nous apporte ni la faiblesse ni la douleur. Je devais passer un coup de téléphone en rapport avec la conférence de l'après-midi et je pouvais à peine porter le combiné à mon oreille. Il était clair qu'un changement radical devait se produire pour que, à peine six heures plus tard, je puisse me tenir debout devant un auditoire, pendant une heure ! Et pourtant, j'étais certain que malgré le témoignage physique décourageant, l'engagement serait tenu, parce que rien n'avait l'autorité suffisante pour empêcher la loi divine de l'ordre et de l'harmonie d'opérer.

Fort de cette conviction, j'ai commencé à agir de façon aussi normale que possible. Je pensais à cette directive de Science et Santé que j'aime beaucoup: «Nous devons porter nos regards là où nous voudrions diriger nos pas et agir comme possédant tout pouvoir de Celui en qui nous avons notre être. » (p. 264) Le pouvoir d'agir vient de Dieu, non du corps. J'ai bientôt été capable de prendre une douche et de m'habiller. La douleur desserrait peu à peu son étau, et je retrouvais petit à petit ma liberté de mouvement.

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