Je voudrais rendre témoignage de la grâce de Dieu qui nous sauve et du pouvoir guérisseur de la Science Chrétienne qui ont rendu possible la disparition totale d’un fibrome.
Il y a une quinzaine d’années, les occupations familiales se multipliaient avec trois générations demeurant ensemble sous le même toit et, involontairement, je laissai ma pensée s’irriter contre un des miens. Je ne comprenais pas vraiment combien il est dangereux de prendre l’habitude de décider de ce qu’un autre devrait ou ne devrait pas faire. J’étais aussi profondément perturbée, car je me sentais à la fois Marthe et Marie, menant de front mes tâches ménagères et mon travail pour l’église.
A peu près à la même époque, il devint évident que j’avais quelque chose à l’abdomen. Je décidai de faire faire un diagnostic et l’on décela la présence d’un fibrome. Cependant, je ne suivis pas les conseils du médecin qui voulait me faire opérer presque immédiatement. Au lieu de cela, je pris contact avec un praticien de la Science Chrétienne. Après avoir écouté le récit de mes misères, il évoqua une phrase de Science et Santé de Mary Baker Eddy: « Il n’y a qu’une cause première. Donc il ne peut y avoir d’effet d’aucune autre cause, et il ne peut avoir de réalité en quoi que ce soit qui ne procède de cette grande et unique cause. »
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