Etudiante a l’université et jeune mariée, j’aurais dû rayonner la joie de vivre. J’avais, comme on dit, « tout pour être heureuse »: un mari attentionné, des parents qui m’aimaient, un diplôme de second cycle tout neuf, et j’étais membre actif d’une église protestante. Pourquoi ai-je fait une telle dépression à ce stade de mon existence ? Je serais incapable de l’expliquer. Je cherchais un soulagement en passant de fréquentes visites médicales, en prenant des tranquillisants, et même j’eus recours en pleine nuit au service des urgences d’un hôpital voisin. Rien n’y fit et je m’enfonçais toujours davantage dans la dépression, dont les symptômes prenaient un tour alarmant.
Un matin, après une nuit d’insomnie particulièrement pénible, cette pensée me vint: « Va à la salle de lecture de la Science Chrétienne. » J’avais entendu parler de la Science Chrétienne par ma mère, qui s’y était quelque peu intéressée. Avec ma formation de biologiste, j’avais de sérieux doutes quant à l’efficacité de quelque chose qui s’intitulait « Science Chrétienne »; mais, dans mon désespoir, je me rendis à la salle de lecture. La bibliothécaire de service fut très comprehensive. J’étais sceptique et posais des questions pointues. Elle y répondit et me prêta Science et Santé avec la Clef des Écritures, de Mary Baker Eddy.
Je revins chez nous avec le livre, que je me mis à lire. Je me souviens qu’à mesure que je lisais, c’était comme si une lumière remplissait tout mon être de chaleur et de guérison. Plus de trace de la dépression le reste de la journée ! Le lendemain soir, je ressentis quelques-uns des symptômes bien connus. Mais, lorsque je me remis à lire Science et Santé, ces symptômes disparurent pour ne plus jamais reparaître.
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