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LA THÉOLOGIE ET LA GUÉRISON

Une théologie chrétienne allant au-delà du raisonnement qui part des prémisses humaines habituelles se fonde sur la vie de Christ Jésus. Elle doit forcément comporter la guérison, guérison du péché et de la maladie qui sont à la racine des plus grands problèmes du monde actuel. La théologie a souvent été considérée comme un sujet réservé aux séminaristes, une chose que seuls les spécialistes sont censés comprendre. Mais, dans la Science Chrétienne où n’existe aucun clergé et où tous sont égaux, la théologie est perçue différemment. Tous les membres sont censés comprendre et mettre en pratique la théologie de la Science Chrétienne. A vrai dire, il est indispensable de comprendre cette théologie pour pratiquer la Science Chrétienne. Cette série d’articles traite de la théologie curative de la Science Chrétienne, la position qu’elle occupe par rapport aux points de vue théologiques traditionnels et le sens qu’elle revêt pour nous dans le monde d’aujourd’hui.

Dieu envoie-t-Il la souffrance ?

Tiré du Héraut de la Science Chrétienne d’août 1991


Le Mal Est-Il un pouvoir réel ? Quelle est son origine ? Pourquoi existe-t-il ? Ce sont là des questions qui troublent le monde depuis des siècles, sinon collectivement, du moins individuellement, à cause des malheurs qui arrivent à chacun. On ne cesse de s’interroger: Pourquoi Dieu permet-Il le mal ? Ne peut-Il l’empêcher ?

Si ce monde matériel est fondamentalement tout ce qui existe et s’il est la réalité tangible que lui donnent les apparences, il semble en effet logique d’en conclure: « Oui, le mal est réellement un pouvoir. Il nous enchaîne tous. Nous pouvons en être victime. » Dans un tel monde, un Dieu qui est le bien éternel, l’Esprit immortel, peut paraître une anomalie intangible avec laquelle il est impossible de communiquer, un mythe ayant peu de liens avec l’humanité et ses besoins. Ces paramètres posés, l’athéisme pourra sembler une position rationnelle et le matérialisme l’attitude la plus sage à adopter, un point de départ pour se mesurer avec le « fait » que le mal est sans aucun doute un pouvoir, et même le seul pouvoir.

Dans le cadre de ces mêmes paramètres définissant la réalité tangible du monde fondée sur la matière, la vie de Christ Jésus aurait été soit un mythe, soit un miracle et, dans les deux cas, dépourvue d’impact, sans aucun rapport avec les besoins profonds du genre humain.

Mais les enseignements de Jésus ébranlent le fondement même de ces perceptions matérialistes et nous délivrent de leurs hypothèses. Jésus a vécu pour servir d’exemple au genre humain: croyants et non-croyants. Il a engagé ses disciples à l’imiter, à accomplir des œuvres semblables aux siennes, à guérir les malades à tous les stades de leur détresse, à régénérer la nature humaine la plus dépravée comme la plus exemplaire, à alléger tous les maux (la faim, la pauvreté, le désespoir), à arracher les semences de la cupidité, de l’orgueil, des préjugés et enfin à vaincre la mort elle-même. La Bible et les textes historiques nous fournissent l’assurance que les premiers disciples de Jésus accomplirent un grand nombre de ces œuvres, ainsi qu’il le leur avait promis. Il leur avait affirmé que, s’ils le comprenaient, ils guériraient comme lui. Mais aussi, il se montrait patient envers eux pendant qu’ils apprenaient et progressaient.

Les préceptes chrétiens sont fermement fondés sur la compréhension spirituelle du fait qu’il existe autre chose de plus réel et de plus durable que le monde matériel que nous percevons autour de nous. Ils sont fondés sur la totalité de Dieu, l’Esprit, et sur la création entièrement spirituelle de Dieu, ainsi que sur les œuvres tangibles et actuelles qui accompagnent la compréhension de ce fait éternel. Jésus parlait du « siècle à venir », du « royaume des cieux... proche », de la « vie éternelle ». Lorsque lui-même priait, c’est-à-dire lorsqu’il communiquait de tout son cœur avec Dieu, il disait: « Et maintenant toi, Père, glorifie-moi auprès de toi-même de la gloire que j’avais auprès de toi avant que le monde fût. » Ces paroles indiquent qu’il existe bien autre chose que ce que voient les yeux matériels et ce qu’entendent les oreilles matérielles. Dans ce contexte spirituel, nous avons l’espoir, nous avons la preuve qu’il existe un moyen d’alléger les maux du monde en général ou de surmonter les maux qui affectent plus particulièrement notre existence et celle de ceux qui nous entourent.

A un moment ou à un autre, ne nous sommes-nous pas tous sentis sollicités par les sens physiques qui affirment: « Ce monde matériel est la totalité de la réalité. Le bien est insaisissable. Le mal finit par être le vainqueur. » Les Scientistes Chrétiens qui s’efforcent de suivre les enseignements de Jésus ne ferment jamais les yeux sur le monde actuel ni sur ses besoins considérables. Ils perçoivent la nécessité de lui accorder toute leur attention et tout leur amour, de l’aider à résoudre ses problèmes et à porter ses fardeaux, tout en regardant au-delà pour percevoir une réalité plus profonde.

Mary Baker Eddy a fondé son Église sur les enseignements de Jésus. Elle n’ignorait pas la souffrance. Le décès de son mari avant la naissance de leur enfant, la maladie, l’isolement, la pauvreté constituèrent les fournaises ardentes qui la purifièrent. Cela eut pour effet de l’obliger à étudier plus à fond les enseignements de Jésus. Elle y découvrit, derrière les paroles et derrière les œuvres, une loi spirituelle, le Principe divin. Elle nomma cette découverte la Science Chrétienne. Ce qui est primordial pour son Église, c’est de guérir, de consoler, de régénérer un monde en proie à la souffrance. En sapant les fondements du mal, la Science Chrétienne plonge sous la surface des mobiles qui déterminent les actes.

Par exemple, l’usage répandu des drogues (et les souffrances qui en découlent pour le monde) peut se considérer comme l’acte, alors que les problèmes fondamentaux — la cupidité, l’ambition, les sentiments de frustration, le désespoir, l’ennui, le sensualisme — peuvent se considérer comme les mobiles qui en sont à l’origine. Le meurtre peut se considérer comme l’acte, alors que les problèmes fondamentaux — la passion, l’envie, la jalousie, la peur — peuvent se considérer comme les mobiles. La Science du christianisme pénètre sous la surface pour révéler les mobiles, les causes profondes. Elle apporte à la pensée humaine le pouvoir rédempteur de la Vérité, de la Vie et de l’Amour divins — le pouvoir de Dieu, l’unique Père-Mère.

Le mal n’est qu’une fabrication, le produit d’un concept erroné d’entendement, que la Science Chrétienne appelle entendement mortel ou encore, pour emprunter l’expression biblique, entendement charnel. C’est la croyance hypnotique à un entendement et à une vie en dehors de Dieu, croyance qui projette ses propres images et les qualifie de réelles. Jésus décrit le mal avec précision comme un « menteur et le père du mensonge ».

Ce concept erroné est un opposé hypothétique de Dieu, de Dieu qui est le seul Entendement ou intelligence de tout être véritable. L’entendement mortel est toujours sur la corde raide: même au plus haut de sa splendeur, il est vulnérable aux désastres, au mal, à la mort. Dans un sens, il est toujours prêt à s’écrouler sur lui-même, jusqu’au point le plus bas de l’échelle du mal, la prétention fondamentale que la mort est universellement inévitable. Cela peut se comparer au trou noir dont parlent les astronomes et dont la densité est si forte qu’il n’émet pas de lumière, mais absorbe tout en lui-même. Un comportement analogue se constate parfois lorsque des gens normalement civilisés commettent des crimes, individuellement ou en groupes, en cédant à l’attraction hypnotique des suggestions ignobles de l’entendement mortel.

L’enseignement libérateur de la Science Chrétienne montre qu’on peut prouver l’impuissance des toiles hypnotiques du mal tissées par l’entendement mortel. La conscience libératrice de la totalité de Dieu, de la réalité de Sa bonté et de Sa toute-présence exclut le mal, le péché, la souffrance. On ne « réduit » pas le mal à rien, mais, par la conscience de la totalité de Dieu, on prouve graduellement qu’il n’est déjà rien. Parfois, cette conscience vient d’un seul coup, presque comme un éclair de lumière. Et parfois, elle vient lentement, à mesure que nous luttons contre la conviction erronée de la réalité du mal.

Un fait essentiel à la théologie démontrable de la Science Chrétienne est ainsi exposé dans son livre d’étude, Science et Santé de Mary Baker Eddy: « On dit parfois que la Science Chrétienne enseigne le néant du péché, de la maladie et de la mort, et ensuite comment ce néant doit être sauvé et guéri. Le néant de rien est évident, mais il nous faut comprendre que l’erreur n’est rien et que son néant n’est pas sauvé, mais doit être démontré afin de prouver la réalité — voire la totalité — de la Vérité. »

Pour Dieu, qui est bon, qui est l’Amour universel, avoir conscience du mal serait connaître quelque chose qui se situe au-delà de Sa propre perfection, mais l’existence de quelque chose qui soit « extérieur » à l’infinité est une impossibilité. Dieu, l’Esprit, est conscient de Sa propre totalité, Sa propre « unicité », parce qu’Il est la totalité même, le Tout-en-tout. Le fait actuel de la totalité du bien intelligent et divin, de la création parfaite de Dieu, création excellente, intelligente et bonne, agit comme une loi qui détruit son prétendu contraire: le mal. Dans la mesure où nous comprenons ce fait, nous le voyons se manifester dans les événements de chaque jour. A l’inverse, dans la mesure où nous cédons aux sombres images inhérentes à l’entendement mortel, ce sont elles que nous voyons se manifester dans la vie quotidienne.

Pour parvenir à Dieu, il n’est pas du tout nécessaire de souffrir sans cesse. Rien ne nous oblige à souffrir constamment pour Le trouver, mais la souffrance est souvent ce qui nous force à courir nous réfugier plus vite dans les bras de Dieu, notre Père-Mère éternel. Elle provient soit de nos propres fautes, soit de la croyance erronée de l’entendement mortel qui se débat avec sa propre fausseté. Si nous souffrons, cela ne veut pas forcément dire que nous soyons sous le coup de mauvaises actions. Mais cela signifie que nous avons besoin de la tendre intervention de l’amour du Christ. Le Christ est la véritable idée de l’Amour divin que Jésus démontra clairement être le pouvoir qui élève et sauve le genre humain. Le pouvoir du Christ est éternel, il est toujours là pour prendre soin de chacun avec amour. Si donc nous agissons mal, nous pouvons changer de conduite, parce que le Christ nous donne la force et la sagesse de le faire. Si nous sommes pris dans les filets du mal, le Christ peut nous en libérer. Et si nous souffrons parce que nous remontons le courant du matérialisme, le Christ nous aide et nous soutient tout en nous guérissant et en nous délivrant.

La Science Chrétienne ne ferme pas les yeux sur la souffrance, mais nous indique le moyen d’en sortir. Les enseignements réconfortants de Mary Baker Eddy nous font la promesse suivante: « Vous commencerez à percevoir Dieu comme étant Tout-en-tout. Vous vous apercevrez que vous perdez la connaissance et l’action du péché, dans la mesure où vous prenez conscience de l’infinitude divine et croyez que Dieu ne peut rien voir en dehors de Sa propre distance focale » (Unité du Bien).

Mais il nous faut également affronter ces moments terribles où il semble que des êtres bons et innocents — y compris nous peut-être — soient victimes de circonstances tragiques. Ces moments sont susceptibles de nous mettre à rude épreuve. Nous sommes parfois tentés de nous replier sur nous-mêmes et de nous entourer d’un mur d’amertume, de cynisme ou de paralysie mentale. Il faut opposer au caractère apparemment imprévisible des tragédies la connaissance spirituellement scientifique du fait que l’homme réel, créé par Dieu, n’est pas gouverné par les circonstances, la chance, les statistiques, les personnes ni les choses. Il est gouverné par la loi infaillible de Dieu, qui le dirige dans la bonne voie. Il est indispensable d’élargir sa conception de la tendre sollicitude de Dieu, sollicitude et tendresse dont chacun est l’objet. C’est là un moyen de contribuer à désarmer le mal et la souffrance au bénéfice de tous.

La Science Chrétienne enseigne que la compréhension de la réalité spirituelle est réellement en mesure d’apporter la paix et la santé dans notre existence et dans notre monde. C’est pourquoi la pratique individuelle de la guérison chrétienne est si essentielle à la pratique de la Science Chrétienne. Chaque guérison fournit la preuve de l’applicabilité universelle de la loi spirituelle.

Un exemple très court, que fournit la Bible, montre comment trouver le réconfort dans l’amour immuable de Dieu lorsqu’on doit affronter la séparation et la perte. La parabole de l’enfant prodigue, racontée par Jésus, nous instruit sur la conduite à adopter devant les petits ennuis ou les grandes tragédies de la vie. Le fils rebelle avait pris son héritage, quitté la demeure de son père et tout dépensé dans une existence égoïste et insensée jusqu’à ce que, n’ayant plus rien, il fût forcé, par le repentir, de retourner chez son père. Son frère aîné fut courroucé parce que son père, en voyant revenir son fils, lui fit des cadeaux de prix: la plus belle robe, l’anneau de l’autorité, des chaussures et le veau gras. Lorsque le fils aîné protesta, son père lui fit cette réponse surprenante: « Mon enfant... tu es toujours avec moi, et tout ce que j’ai est à toi. »

Selon les calculs humains, il était impossible au père de donner tout ce qu’il avait au fils aîné, puisqu’une partie de l’héritage avait déjà été accordée au plus jeune. Le père mentait-il à son fils ? Tentait-il de le calmer en lui communiquant une fausse information ? Seule la compréhension spirituelle peut donner la réponse logique. Et c’était précisément ce genre de raisonnement que Jésus exigeait constamment. Nous voyons que chacun des fils pouvait tout avoir uniquement grâce à la réalité abondante de l’expression sans limites de l’Esprit et uniquement grâce à la compréhension de la réflexion de cette abondante réalité par l’homme réel. L’image renvoyée par le miroir n’affecte en rien la possibilité d’une autre image et ne lui enlève rien. Le reflet est inépuisable. Si l’on applique cette parabole à un contexte plus large, la compréhension et surtout la démonstration de la réalité abondante de la totalité et de la bonté de Dieu, et de l’homme en tant que Son reflet, peuvent dessécher les racines de l’envie, de la jalousie, de la convoitise, etc. pour les faire disparaître d’abord de la conscience individuelle, puis des gouvernements, des entreprises, des écoles et des foyers.

Il y a de nombreuses années, une simple guérison me permit de saisir vraiment le sens de la réponse du père: « Mon enfant... tu es toujours avec moi. » Cela se passait pendant mes années universitaires. Je ressentais une douleur vive et inquiétante. Un soir, que je n’oublierai jamais, je priais en essayant de mieux sentir la toute-présence de l’amour de Dieu qui m’entourait et qui entourait tout le monde, partout dans l’univers. La phrase: « Mon enfant... tu es toujours avec moi » revêtit un sens nouveau, presque dans un éclat de lumière. Ce ne fut pas un instant de raisonnement intellectuel. Ce fut un instant d’intuition spirituelle. Je compris, dans une certaine mesure, que Dieu est Tout ! Absolument Tout ! Il n’existait pas un endroit privé de la présence divine. Il n’existait pas un seul espace ni une seule personne à l’extérieur de Sa totalité, car il n’y avait pas d’extérieur à Son infinitude. Je possédais tout ce qu’Il donnait de bon et de bien, et il en était de même pour chacun, dans tout l’univers. Au lieu de n’être qu’un pur concept, le « reflet » devint un sentiment tangible d’existence. Tout ce que le Père possédait — Sa bonté, Son amour, Sa santé, Ses ressources, Sa joie, Sa liberté — m’appartenait, à moi et à tous. C’était abondant. C’était vrai dans le présent et dans l’éternité.

Je compris mieux le sens du mot reflet qu’utilise Mary Baker Eddy en rapport avec Dieu. Elle écrit ceci: « De même que votre reflet paraît dans le miroir, de même, étant spirituel, vous êtes le reflet de Dieu. La substance, la Vie, l’intelligence, la Vérité et l’Amour qui constituent la Divinité, sont réfléchis par Sa création... »

La métaphore bien connue d’une image reflétée par un miroir me faisait voir l’exacte conformité de l’image à son original. Si Dieu donne tout, l’homme, Son image, doit tout posséder. Si Dieu donne la liberté, l’homme, Son image, doit posséder la liberté. Mais je vis que reflet implique aussi « unité, inséparabilité ». L’homme, le reflet de Dieu, est l’idée même de Dieu existant dans l’Entendement qui est Dieu. L’homme reflète, ou disons manifeste, l’être de Dieu.

Il ne me fallut pas alors autant de temps pour sentir cela qu’il ne m’en faut maintenant pour l’expliquer. A l’instant de cette prise de conscience, je fus guéri. A un moment, j’éprouvais douleur et souffrance. La minute d’après, je me sentais libre et normal. Ce mal douloureux n’est jamais revenu. La lumière et l’inspiration que me procura jadis cette simple guérison sont restées en moi au fil des années, alors qu’il me fallait relever de plus grands défis encore et que j’obtenais d’autres guérisons. Cette fois-là, j’ai appris qu’il était important de ne jamais négliger le mal, mais qu’il était encore plus important de porter le regard au-delà du mal, de voir à travers sa nature illusoire et hypnotique, de voir, dans une certaine mesure, la totalité de Dieu, l’Amour divin, et ainsi sentir Dieu nous guérir et Son pouvoir nous protéger.

Cette compréhension-là peut-elle apporter quelque chose à l’ensemble de l’univers ? Les progrès spirituels accomplis par quelques-uns peuvent-ils avoir un effet réel sur le mal dont la présence dans le monde semble si accablante ? C’est certain ! Telle un rayon de lumière, une seule pensée correcte a le pouvoir de percer la nuit la plus sombre. En réalité plus sombre est la nuit, et plus vive est la lumière. Un seul être peut apporter la lumière à un continent ou au monde entier. Paul a dit: « La loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ m’a affranchi de la loi du péché et de la mort » (Romains). Cette loi est à la portée de chacun. Nous n’avons pas à attendre que tout le monde comprenne une loi pour que notre propre obéissance à cette loi commence à faire effet sur les autres. On s’en rend fort bien compte avec les lois des mathématiques ou de l’aéronautique. Combien plus efficace encore est la compréhension de « la loi de l’esprit de vie en Jésus-Christ » ! La Science Chrétienne apporte au genre humain la compréhension de cette loi. Et une seule personne qui la possède peut toucher les hommes et les nations du monde entier.

C’est là l’occasion merveilleuse qui s’offre aux penseurs d’aujourd’hui. Son impact sur le monde est prodigieux.

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