Un jour, je voulus sortir une « chèvre » (palan pour moteur) de mon garage. Alors que j’essayais de la faire passer par-dessus une marche, le portique de l’engin glissa du vérin hydraulique et me tomba sur les mains. Deux doigts de chaque main se trouvèrent coincés entre les bras d’acier du portique et le support de l’appareil au niveau du pivot. Les deux mains prises, j’étais dans l’impossibilité de soulever le cadre, jusqu’à ce que, en priant, je sois guidé à avancer le torse très en avant pour mettre ma tête sous une barre transversale. Puis, avec beaucoup de peine, je parvins à soulever le cadre suffisamment pour dégager mes doigts.
Mes doigts étaient gravement coupés et écrasés, l’un d’eux était presque séparé de la main. Je me rendis à la maison et je réussis à téléphoner à ma femme. Elle me dit qu’elle allait prier pour moi, et j’en fis autant bien sûr. Il n’y eut plus de douleur, ni à ce moment-là ni plus tard.
Auparavant, j’avais lu dans Écrits divers de Mary Baker Eddy, un passage qui dit ceci (p. 355): « Moins enseigner et bien guérir, c’est aujourd’hui l’apogée du “c’est bien”, une guérison qui n’est pas conjecturale — un long rétablissement avec des hauts et des bas — mais la guérison instantanée. On doit faire revivre cette démonstration absolue de la Science. » En pensant à ce passage, je me rendis compte que la guérison physique n’était pas vraiment un but, mais plutôt un effet secondaire provenant d’une meilleure compréhension de l’immuabilité de Dieu et de Son idée parfaite, l’homme. Donc la guérison ne demande pas un certain temps, mais elle est le résultat de la spiritualisation de la pensée.
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