Vais-je tolérer
le vacarme de la matière,
diagnostiquer la raison de sa présence,
honorer d’un nom
cette ineptie ?
Non, pas tant que je n’admets
qu’une divine cause — un seul Dieu —
et que je laisse briller Son éclatante vérité.
Car, ainsi, je vois toujours
que la pure existence spirituelle m’appartient.