Point n'est besoin de craindre le mensonge qui prétend qu'un état physique pitoyable puisse rompre l'activité bien réglée d'un jour tout neuf. La preuve m'en a été donnée il y a quelque temps. Je me suis éveillé un matin dans une situation particulièrement alarmante et douloureuse. Un radiateur électrique, réglé sur une température excessive, s'était trouvé placé trop près de moi. Ce radiateur avait fonctionné presque toute la nuit. J'étais rôti sur presque tout un côté et la jambe avait été si gravement brûlée qu'il m'était impossible de marcher sans m'aider des meubles et du mur.
Après avoir reconnu que la journée devait commencer par un gros effort pour porter remède à cette situation, sans oublier le sentiment de culpabilité éprouvé face à ma négligence, j'ai passé toute la journée à travailler et à prier. J'ai étudié le chapitre intitulé « La Science de l'être » dans notre livre d'étude, Science et Santé de Mary Baker Eddy. Avant même de commencer, les mots de ce titre occupaient le premier plan de ma pensée. Aussi étais-je particulièrement attiré par ce chapitre.
A mesure que je lisais Science et Santé, je compris mieux l'importance de me détourner de l'image mortelle et de refuser catégoriquement l'idée qu'il m'était arrivé quelque chose. Le passage suivant (p. 287) énonce de puissantes vérités curatives pour détruire les prétentions de l'erreur: « L'erreur ne s'accompagne ni de compréhension ni de vérité, et l'erreur n'est pas non plus le produit de l'Entendement...
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