Nous avons entrepris de construire notre mur...
Dur comme le roc,
il résistera,
barrière pour l’ennemi, édifice pour l’amour.
Essayant de nous détourner de l’ouvrage
(que nous seuls pouvons faire),
les mensonges de l’erreur et les complots stupides échouèrent !
Presque toujours confiants (« ô Dieu, fortifie-moi ! »),
nous construisons sans cesse. (Pourquoi le travail serait-il interrompu
« pendant que je le quitterais pour aller vers vous » ?)
Notre mur doit être achevé, fortifié, sans brèche.
Notre travail continue (à chaque heure de chaque jour),
nous montons la garde, éveillés, vigilants,
car nous avons appris,
bâtissant pierre sur pierre,
que les efforts de l’erreur ont toujours le même but:
nous amener à cesser notre ouvrage !
« J’ai un grand ouvrage à exécuter, est notre réponse,
et je ne puis descendre. »