La Science Chrétienne rend la santé aux malades, comble les personnes qui sont seules et répond aux besoins humains. Mais dans la guérison spirituelle, il ne s’agit pas simplement d’améliorer des conditions matérielles. La loi démontrée dans une guérison par la Science Chrétienne est spirituelle. Niant que l’homme soit un mortel sujet à des problèmes continuels, la Science montre que l’homme est immortel, à jamais spirituel et parfait, étant l’image et la ressemblance de Dieu.
L’homme de Dieu n’est jamais malade, seul, pauvre, ni privé de quoi que ce soit. Lorsque nous sommes guéris de telles difficultés grâce à notre prière scientifique, nous avons démontré dans une certaine mesure la réalité de l’identité harmonieuse de l’homme. Nous avons prouvé que l’illusion de la discordance n’est pas réelle. Mary Baker Eddy écrit: « Les malades disent: “J’ai été guéri”, alors qu’en réalité le fait demeure, en Science divine, qu’ils n’ont jamais été malades. » Et elle déclare plus loin: « Voici le mystère de la piété: Dieu, le bien, n’est jamais absent, et il n’y a rien en dehors du bien. » Unité du Bien, p. 61, 62.
La dernière touche d’une guérison intervient quand nous nous rendons compte qu’aussi désirable que notre rétablissement puisse sembler au sens matériel, notre être véritable, indestructible dans l’Entendement divin, est resté parfait, sans aucun besoin de changement. Cette touche finale consiste à reconnaître qu’en qualité d’enfants de Dieu, nous avons avons toujours été et serons toujours harmonieux. Cela signifie admettre la réalité, le fait que « Dieu, le bien, n’est jamais absent, et [qu’] il n’y a rien en dehors du bien ».
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